Les mille et une nuits illustrées

Adaptation Anna Milbourne

ill. Alida Massari

trad Muriel de Grey

Editions Usborne, 24 sept 2015, 312 p., 17,95€

9781409592259

Mes lectures avec USBORNE

4e de couv . :

Ce magnifique recueil de contes des Mille et une nuits, somptueusement illustrés, est proposé dans une édition de luxe avec une belle reliure traditionnelle en toile.

Un superbe livre relié en toile avec tranchefiles, dorure à la presse et ruban marque-page fera un très beau cadeau, à transmettre de génération en génération.

sommaire de l’ouvrage :

Le pêcheur et le génie

Ali Baba et les quarante voleurs

Le sultan et le médecin

Le Prince intelligent, la princesse et le génie

Les voleurs et l’âne

Aladin, ou la merveilleuse

le cheval volant

Le rêve du pauvre homme

Les voyages de Sinbad le marin

Les mille et une nuits (les origines des histoires)

Ma chronique :

Je continue l’exploration des adaptations de contes et légendes aux Éditions Usborne. J’avais déjà eu l’occasion de découvrir cette collection avec la couverture toilée et le format 22×17 qui donnent l’impression de livres intemporels. Une belle tenue en main et des illustrations pour marquer le début de l’histoire. la première lettre du chapitre en lettrine. quelques illustrations viennent accompagner le texte qui est généralement en fond blanc. Les caractères d’écritures sont assez gros pour une lecture agréable. Les jeunes lecteurs se sentirons plus à l’aise que dans un texte serré, moins de 20 lignes par page.

C’est une lecture partagée avec mon garçon qui va avoir 8 ans. En lui lisant ces histoires, j’ai vu que la magie fonctionnait et qu’il avait les yeux qui pétillaient, comme quoi on peut être dans le monde futuriste et s’intéresser aux aventures merveilleuses. Une écriture agréable à lire à haute voix. Je l’ai même vu commencer à lire à voix basse en attendant que j’arrive ! que de progrès en un an !

Au début de l’ouvrage en trois pages on remets Schéhérazade dans le contexte. Puis avant chaque histoire une petite phrase introductive mets le lecteur en condition… les histoires se terminent par une autre phrase pour enchaîner… Cela crée une sorte de rituel que l’enfant apprécie d’autant plus s’il ne lit pas l’histoire mais se contente de participer à ce moment. Ces deux phases sont mises en évidence par une illustration particulière.

Je connaissais certains contes dans leur grandes lignes d’autres furent une découverte pour moi aussi.

Ces adaptations sont aussi un moyen de se lancer dans la version adulte qui parfois peut faire peur, une sorte de base ou de tremplin pour aller plus loin. on a tous l’impression de connaître les mille est une nuit parce que l’on a vu les adaptations cinématographiques ou animés c’est toujours bien de voir d’autres façons de le présenter.

Je remercie les Éditions Usborne pour leur confiance m’avoir permit ce moment de complicité avec mon jeune lecteur.

Dans la même collection « toilée » j’ai déjà parlé de :

histoires-de-dickens-illustres
contes-andersen-illustres
contes-de-grimm-illustres

Article précédemment publié sur Canalblog

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