La dernière geste, premier chant. Dans l’ombre de Paris

Morgan of Glencoe

ActuSF, Naos,  2019, 450 p.

Lu dans le cadre du mois de…

4e de couv. :

« Depuis des siècles, les humains traitent les fées, dont ils redoutent les pouvoirs, comme des animaux dangereux.
Lorsque la princesse Yuri reçoit une lettre de son père lui enjoignant de quitter le Japon pour le rejoindre, elle s’empresse d’obéir. Mais à son arrivée, elle découvre avec stupeur qu’elle a été promise à l’héritier du trône de France ! Dès lors, sa vie semble toute tracée… jusqu’à ce qu’une femme lui propose un choix : rester et devenir ce que la société attend d’elle ou partir avec cette seule promesse : « on vous trouvera, et on vous aidera. »
Et si ce « on » était la dernière personne que Yuri pouvait imaginer ? »

Mes impressions de lecture :

J’ai acheté ce tome 1 car j’ai reçu le tome 2 en partenariat pour le mois de… Morgan of Glencoe.

Tout d’abord un mot pour l’écrin de ce texte, la couverture de ce roman (et des trois tomes déjà parus de cette pentalogie), est  magnifique. Cette princesse de dos intrigue. Que regard elle ? Son destin ? Ou ce qui l’entoure ou des mondes « imaginaires ».

La première scène est un combat dans une arène. Une vision futuriste d’un combat de Gladiateur. C’est un moment fondateur pour cette jeune fille d’un ambassadeur du Japon à Paris.

J’ai eu un peu de mal à passer de cette première scène au chapitre suivant, mais le moment de flottement n’a duré que quelques pages.

Ce roman nous montre des personnages au destin tout tracé par les autres mais dès que les protagonistes peuvent prendre leur vie en main cela part en free style.

Nous avons l’image du chemin de fer, donc un rail tout tracé, duquel il ne faut pas sortir au risque de se perdre. … Puis vient le décor des égouts  là aussi on a un chemin tracé mais avec des issues et des chemins de traverses. On a aussi l’idée de l’extérieur et du souterrain. Mais on va vite se rendre compte que c’est notions là sont surfaites avec la magie et autres sphères.

J’ai pris plaisir à suivre la thématique aquatique qui va jouer un rôle dès la première scène.

La thématique autour des animaux, noms, créatures et comportement tient une place importante.

Les combats et l’action ont une grande place dans ce roman. Cela donne à la narration un rythme parfois effréné qui emporte les personnages et le lecteur.

Ce mélange de Paris sous Louis-Philippe revisité et de temps futurs nous entraine dans un univers que l’on croit reconnaître  et dans lequel notre imagination peu vagabonder au grès des inventions de l’autrice.

Les chapitres sont composés de plusieurs scènes ce qui crée une image d’ensemble et permet des pauses de lecture.

La place de la musique est importante dans la narration, l’autrice est musicienne et elle joue de la harpe ce qui donne à ses explications sur la puissance magique de la musique une base réelle très prenante.

Voilà j’ai terminé ce roman sur cette  longue scène dramatique, violente, puissante et émouvante intense… je vais enchaîner avec le deuxième tome…. Il y a deux pages du prochain tome en fin de volume pour vous mettre l’eau à la bouche.

Je remercie Dup et Phooka de m’avoir incitée à découvrir cette autrice.

3 réflexions au sujet de « La dernière geste, premier chant. Dans l’ombre de Paris »

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