Le mois de mai se termine ainsi que le mois de Sylvie Kaufhold sur Book en Stock. Ce fut encore un mois fort intéressant qui nous a permis de découvrir une auteure/autrice à suivre.
Vous trouverez ici les liens vers les différentes pages d’interviews participatives sur Book en stock.
En fin de compte je n’ai eu le temps que de lire « Royaumes ennemis. T1 Les magiciennes », le tome deux est en numérique et c’est bien dommage je ne sais pas lire en numérique.
L’hiver s’achève dans les steppes, laissant le Septentrion déchiré en deux territoires ennemis. Khazan, l’ambitieux seigneur des Tsets, est à la recherche d’une nouvelle technologie qui lui garantirait la victoire sur le chef des Araks et sa maîtresse sanguinaire. Il doit pour cela obtenir l’aide d’un peuple étrange, retiré dans les Montagnes de l’Ouest et miné par des conflits internes menaçant sa survie. Trois de ses meilleurs guerriers, dont la solaire Iridiane, le soutiennent dans sa quête. Mais d’autres dangers guettent le jeune chef de guerre, ne lui laissant aucun répit. Le jour, la reine magicienne d’un royaume pirate menace le sud de ses terres et la nuit, ses songes sont le terrain de jeu d’une jeune rêveuse boréale
Mes impressions de lecture
Avant de débuter une lecture, le lecteur a des à priori soit à cause de l’auteur, du titre, de la couverture, du genre littéraire, voir de la maison d’édition, soit tout simplement influencé par ses lectures précédentes, sa vie ou le conteste social. Lire « Royaumes ennemis » dans cette période de contrainte spacio-temporelle (-10 km de son domicile et rentrer avant 19 h) c’est une bouffée d’oxygène, les steppes, le voyage, les rivières et les montagnes, cela augmente les sensations. Maintenant on a plus de possibilité mais la vie quotidienne, le travail et l’école ce ne sont pas encore les vacances au bout du monde !
Lorsqu’on débute une lecture, on ne sait pas à l’avance ce qui va accrocher notre esprit d’où l’intérêt d’avoir des romans riches en sujets de réflexion, ou aux univers variés et plus ou moins complexes. Dans ce roman, je peux vous dire qu’on peut en dégager, mettre en avant, beaucoup, c’est selon notre sensibilité. Le premier qui nous frappe de plein fouet, c’est la place de la femme dans ce royaume des steppes de la guerrière à la femme du chef, il y a bien des luttes. D’entrée on a la violence et le sexe, la souffrance, la maladie, la maternité, l’amour… on ne va pas s’ennuyer.
Sylvie Kaufhold met en scène des femmes fortes avec chacune une particularité. Pour ne rien dévoiler, je ne donnerai que des éléments du tout début. Nous avons Iridiane, la guerrière, qui essai de faire oublier son corps de femme pendant les batailles et qui est très sensuelle dans l’intimité et puis d’un autre côté on a Tira sur sont lit de souffrance qui attend la délivrance et qui sait qu’au bout il y a sa mort prochaine. Deux femmes de devoir et de deux mondes différents… vous verrez il y a en a bien d’autre.
Ce qui a attiré mon attention se sont les notions d’espace. On part de la steppe cet espace ouvert et plat, lieux de combats. Ensuite, on longe le fleuve avec la notion de frontière, on découvre les conflits entre les peuples. On a quelques villes fortifiées et la notion d’argent. Plus loin on découvre la montagne où il faut atteindre une cité « verticale » qui s’est coupé du monde, les conflits sont réglés autrement. On est dans le savoir, les archives, l’architecture, pas moins cruel. Il y a une certaine progression qui fait aussi partie de la narration, le lecteur est invité à découvrir ces royaumes ennemis. Il va y avoir des alliances et des interactions… de l’idée d’aventure on passe la stratégie politique.
Cela m’a fait penser de la bestialité à l’intellectualité. Mais que ce soit dans les étapes intermédiaires de l’évolution, la violence est omniprésente, que l’on trucide par le fil de l’épée ou avec une machine plus complexe, les notions de justices sont assez relatives.
Les structures sociales de chaque peuple montrent l’importance du pouvoir. Rien de nouveau sous le soleil me direz-vous, cependant, il faut souligner que dans ce roman, il y a un pouvoir différent, celui qui passe parles rêves, celui du contrôle mental, contrôle de la volonté (élixir).
J’ai beaucoup aimé ce roman, en particulier quand on passe de chacun ce bat pour son peuple à des interactions et des mélanges de population, on va voir émerger autre chose. Certains personnages vont trouver leur véritable rôle ou place et évoluer de manière surprenante. On va aussi voir évoluer la notion d’espace entre le début et la fin.
Le lecteur va de surprise en surprise, de rebondissement en rebondissement dans ce roman à la troisième personne aux chapitres cours et concis et rythme soutenu. Il s’agit du premier volet d’un triptyque. Le tome 2 est sorti en numérique et se déroule 15 ans avant cette histoire.
J’ai adoré me laisser emporter par la large palette d’émotions, on est tantôt dans la tête d’un l’un ou de l’autre avec des questionnements différents et des réaction différentes qu’on soit la cruelle reine ou la magicienne, la guerrière ou le pauvre mage stagiaire… J’ai rit notamment lorsque certains personnages se rencontrent… mais chut je vous laisse faire vos propres découvertes…
Je remercie Sylvie Kaufhold pour ce bon moment de lecture et sur Book en Stock où elle s’est prêté au jeu des interviews participatives du 1er au 31 mai 2021. Merci aux Vénérables et aux Éditions du 38 pour ce partenariat.
J’ai terminé « Royaumes ennemis. T1. » de Sylvie Kaufhold, le brouillon de ma chronique est fait il n’y a pas plus qu’à retravailler ça et taper le texte… donc d’ici demain ça devrait être en ligne. Ce que j’aime beaucoup dans le mois de c’est qu’on peu poser des questions sur le texte qu’on est en train de lire, bien sûr sans dévoiler. C’est parfois frustrant de lire un roman et de ne pas confirmer ses intuitions ou d’avoir des pourquoi. Pourquoi l’auteur à fait tel ou tel choix alors n’hésitez pas à tente l’expérience il vous reste dix jours !
Au mois de mai je participe au mois de Sylvie Kaufhold sur le blog Book en Stock. Il s’agit d’interviews participatives. C’est à dire que tout le monde peut poser toutes sortes questions avec courtoisie va s’en dire sur le blog Book en Stock et pendant tout le mois de mai elle y répondra dans la joie et la bonne humeur !
Depuis quelques années maintenant je suis le duo « Dup et Phooka » dans leur aventures, elles me font découvrir des auteurs, des autrices de l’imaginaire ou thriller. Et parfois à la suite de ces mois de… je découvre les auteurs en vrai dans des salons. Mais cette fois-ci c’est plus délicat j’ai déjà rencontré en vrai Sylvie Kaufhold et son éditrice Anita Berchenko des Éditions E38. Et je les suis sur les réseaux sociaux.
Je vous raconte. C’était le mois de Cindy Van Wilder sur Book en Stock, février 2016, je lui posais des questions sur internet et j’apprends qu’elle était marraine du premier salon du livre fantastique « Imagina’livre » à Toulouse. Et là en plus de découvrir en vrai les sympathiques Cindy Van Wilder et Jean-Claude Dunyach, j’ai rencontré Sylvie Kaufholf avec la double casquette d’autrice et d’éditrice. J’ai même offert « Allia » à ma fille mon Allia à moi.
Je n’ai toujours pas piqué le livre de ma fille… donc pas encore lu ce roman jeunesse.
J’ai eu le plaisir et la chance de recevoir en partenariat Book en Stock / E38, « Royaumes ennemis. Tome1. Les magiciennes », je sais que cette maison d’éditions, E38, privilégie les ebooks mais je ne me suis toujours pas mise au numérique.
4e de couv. :
L’hiver s’achève dans les steppes, laissant le Septentrion déchiré en deux territoires ennemis. Khazan, l’ambitieux seigneur des Tsets, est à la recherche d’une nouvelle technologie qui lui garantirait la victoire sur le chef des Araks et sa maîtresse sanguinaire.
Il doit pour cela obtenir l’aide d’un peuple étrange, retiré dans les Montagnes de l’Ouest et miné par des conflits internes menaçant sa survie. Trois de ses meilleurs guerriers, dont la solaire Iridiane, le soutiennent dans sa quête.
Mais d’autres dangers guettent le jeune chef de guerre, ne lui laissant aucun répit. Le jour, la reine magicienne d’un royaume pirate menace le sud de ses terres et la nuit, ses songes sont le terrain de jeu d’une jeune rêveuse boréale.
Allez on se prépare pour ce mois de Sylvie Kaufhold !
Le monde du livre est un monde de passionnés j’ai pu encore le constater le 19 et 20 février à :
Vendredi 19 février 2016. C’est le grand jour. Nous avons pris la route de très bonne heure pour arriver à l’heure d’ouverture du 1er salon de livre de l’imaginaire à l’Université Jean Jaurés à Toulouse. J’habite à 1h30 de Toulouse, quand c’est mon mari qui conduit… j’imagine que si j’y allait avec ma petite voiture il m’aurait fallu beaucoup plus de temps même sans me tromper de sortie de périphérique !
J’ai tout de suite trouvé le lieu… l’accueil fut chaleureux et le café chaud !
Et devinez qui j’ai trouvé qui attendait son café ? Cindy Van Wilder, en personne !Si si…
L’auteure pour qui je venais … Et tout de suite on a continué notre conversation entamé sur le net…
Une discussion très intéressante sur la complémentarité des trois acteurs du livre.
Enjeu de la communication pour le grand nombre de livres publiés chaque année, rôle de conseil du libraire.
Les jeunes auteurs face aux contrats des maisons d’édition. Petites maisons d’éditions, leur place et leurs rôle. Les enjeux du numérique. L’auto-édition pas toujours la solution…
Beaucoup de sujets ont été abordés, très difficile à résumer…
Merci aux organisateurs d’avoir pensé aux boissons et sandwich très abordables.
J’ai fait beaucoup de pauses !
Vue depuis le troisième étage en attendant la table ronde.
On voit le lieu de pause.
« Médiéval réel / le médiéval fantasmé »
J’ai été agréablement surprise du niveau de discussion sur le sujet. Il a été beaucoup question de l’oeuvre de Tolkien mais aussi du trône de fer, de la quête du Graal, de Robin des bois, d’avatar, de Conan le barbare, de poésie et de jeu de rôle… mais aussi de Trolls et de
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Une mini table ronde avec pour sujet « le crowdfunding » menée par Aori une illustratrice qui a publié deux livres en auto-édition grâce au crowdfunding. C’est une sujet qui revient souvent sur la toile et il y avait des choses qui m’échappaient en tant qu’investisseur potentiel. A partir de son expérience Aori a donné des conseils pour ceux qui voudraient se lancer. C’était la deuxième fois de la journée que le thème de l’auto-édition était abordé.
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Pour compléter cette venue à Toulouse
Soirée chez ma fille, chez qui nous nous sommes régalés
Après une soirée tranquille dans un hôtel perdu dans la banlieue… Un beau début de roman…
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Deuxième journée à Imagina Livre
Le beau temps s’est invité
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Le matin une intéressante table ronde autour du « trans-média » présenté par Ygaël Coquel qui nous a raconté son expérience autour de « la dernière série avant la fin du monde » dont il terminé l’aventure avec la BD « La dernière BD avant la fin du monde ». Une discussion à baton rompu avec les participants a permis de parler d’autres expériences et de faire la différence avec le « cross-media ». On y a parlé de « Star Wars » de « Kamelott », de Doffus, de Matrix et bien d’autres sujets…
Trans-média utilisations de plusieurs médias pour créer une extension d’un univers, une continuité.
Cross-média c’est par exemple l’adaptation d’un livre en film ou inversement.
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Déjeuner dans l’herbe au soleil au mileu des violettes de Toulouse dans le quartier du Mirail en attendant ma fille qui a pu se libérer pour passer l’après-midi avec moi. Oui il faisait bien beau et bien chaud pendant que les auteurs étaient coincés à l’intérieur, quelle abnégation que ce métier !
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Table ronde de l’après-midi :
Rencontre avec Jean-Claude Dunyach et Bruno Marcheson de « Via fabula » autour du livre numérique et du livre adaptatif. ce deuxième concept va voir le jour dans quelques semaines. Il s’agit de livres numériques adaptés pour smart phone où les metadonnées auront une incidence sur la suite de l’histoire. En gros, selon si vous êtes un homme ou une femme, que vous habitez ici ou ailleurs, qu’il pleuve ou qu’il fasse beau et d’autres paramètres feront évoluer le texte grâce à algorithme créé par la startup « Viafabula »… Cela va au-delà du simple livre numérique et ses liens hypertexte.
Cindy nous a gentiment adoptées pour ces deux jours !
J’ai aussi rencontré la blogueuse de Chezyueyin mais pas de photo.
Deux personnes que j’ai croisé sur la toile, sans vraiment faire la relation.
Je n’ai pas fait autant de photos que j’aurais dû/voulu faire… J’étais sur un petit nuage.
C’était petit et chaleureux mais qui suis assez timide et qui ait du mal avec la foule ça m’allait bien.
J’ai été très touchée par la rencontre avec Anita Berchenko, pour des raisons très personnelles, et c’est là que l’on se rend compte que le monde est petit. Je vais peut-être avec des partenariats avec les Editions du 38, ce qui serait le bonus de cette belle rencontre.
Mes achats :
Livres d’Occasion :
« Céret noir » de Gil Graff
j’ai rencontré l’auteur il y a peu à Carcassonne dans une rencontre avec des éditeurs.
« la moïra » d’Henri Loevenbruck
Une facette de Loevembruck que je ne connais pas.
« l’ombre d’Edgar Poe » de Matthew Pearl
Il vient rejoindre « le cercle de Dante » que je n’ai toujours pas lu.
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Livres Neufs :
« Les outrepasseurs. tome 3 : Le libérateur » Cindy Van Wilder
J’étais venu exprès pour l’acheter et avoir une dédicace.
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« le jeu des sabliers » de Jean-Claude Dunyach
Conseillé et dédicacé par l’auteur !
Mon mari m’a pris le livre dès que je lui ai montré !