Saga des Cazalet IV Nouveau départ

Elisabeth Jane Howard

Trad. Cécile Arnaud

Éditions de la Table Ronde, octobre 2021, 624 p., 24 €

Mes lectures de la Table Ronde

4e de couv. :Juillet 1945. Deux mois après la fin de la guerre, la famille Cazalet décide de quitter Home Place pour retourner vivre à Londres. Pourtant, si la paix est enfin signée, rien ne sera jamais plus comme avant… Rupert, après cinq ans d’absence, retrouve une Angleterre encore sous le coup des privations et des bouleversements politiques. L’espoir déçu de renouer avec la vie d’avant-guerre semble confirmé par la mort du Brig et par le divorce d’Edward et de Villy. Les plus âgés des enfants Cazalet, désormais adultes, doivent apprendre à composer avec leurs parents dont ils découvrent que les préoccupations ne sont pas si éloignées des leurs. Louise s’ingénue à trouver des échappatoires à la vie conjugale, mais sa tentative de revenir à sa première passion, le théâtre, se solde par un échec. Clary et Polly partagent toujours un appartement à Londres ; Clary est la secrétaire d’un agent littéraire exigeant et tyrannique, tandis que Polly devient assistante dans une entreprise de décoration d’intérieur. Chacune s’efforce de tracer sa voie, entre mésaventures et déconvenues amoureuses. Ami et proche confident, Archie se révèle plus que jamais le dépositaire des secrets de la famille.Nouveau Départ est le tome du difficile renouveau. L’heure est venue pour chacun de surmonter les épreuves passées et de se défaire des inhibitions pour découvrir la vertu de l’aveu.

Mes impressions de lecture :

Lire un roman qui débute plus ou moins avec la date de lecture, voilà qui me plait. Et quand une lecture fait écho à une autre lecture du moment c’est encore plus marquant. Je pense à ma lecture de la saga « le poids des secrets » de Aki Shimazaki qui revient beaucoup sur l’explosion de la bombe de Nagazaki.

Nous retrouvons nos protagonistes en juillet 1945. La force de la narration de Elisabeth Jane Howard c’est de nous plonger directement dans la vie de ses personnages. Ils sont attachants avec leurs failles et leurs questionnements face à la vie quotidienne. Ce que j’aime aussi c’est toutes les parties dialoguées qui permettent des confrontations directes entre les personnages.

J’ai été très touchée par exemple par ce qui arrive à Miss Pearson qui doit quitter son travail qu’elle aime parce qu’elle doit s’occuper de sa mère. Ce qui signifie ne plus avoir de revenu suffisant et de ne plus faire le métier qu’elle aime. Nous allons avoir le point de vue résigné de cette dame, puis le regard du patron compréhensif mais qui perd une collaboratrice efficace et un troisième regard, celui de Rachel qui est très humaniste et qui pense aux conséquences financières pour Miss Pearson. C’est l’illustration de ce que l’on trouve dans ce roman. La vie de la société anglaise avec tous les changements que la guerre a apportés notamment dans la vie des femmes. Rachel cherche une solution.

Avec Rachel il y a d’autres sujets qui sont mis en avant. Une jeune femme célibataire avec une amie très « proche » très féministe et très intime. Et ainsi de suite on va avoir toutes ces vies différentes qui forment ce clan et leur entourage.

Nous avons aussi dans la thématique du vieillissement de la population les grands-parents qui sont de la vieille génération et qui vivent encore avec les vieilles valeurs… avoir plusieurs vastes propriétés, l’entreprise, les employés qui vont avec, alors que la guerre a tout modifié.

Nous avons aussi les sujets politiques qui touchent le pays et donc l’entreprise. Cela nous remet bien dans le contexte de l’époque et le climat social.

Je vous laisse découvrir les nombreux rebondissements qui jalonnent une vie familiale et qui rendent ce tome aussi prenant que les autres qui nous conduisent jusqu’en 1956.

Cet automne paraît le cinquième et dernier tome qui clôturera cette saga familiale.

J’ai hâte de retrouver nos protagonistes.

Je remercie les Éditions de la Table Ronde de leur confiance.

La saga Cazalet. T3 Confusion

Elisabeth Jane Howard

Trad. Anouk Neuhoff

Éditions de la Table Ronde, mars 2021, 512 p, 23 €

Mes lectures de la Table Ronde

4e de couv :

Mars 1942. Polly et Clary, les deux cousines encore enfants dans Étés anglais et qui, adolescentes, avaient la part belle dans À rude épreuve, ont aujourd’hui dix-sept ans et n’aspirent qu’à une chose: échapper à l’étau familial en quittant Home Place pour Londres.
Polly est encore sous le choc du décès de sa mère, Sybil, qui a succombé au cancer qui la rongeait. Clary, dont le père Rupert n’a plus donné signe de vie depuis le mot apporté par un soldat français, est sur le point de perdre espoir. Au chagrin des deux héroïnes s’ajoute la frustration face au silence borné du clan Cazalet: les adultes se refusent à parler des choses graves, et continuent de les considérer comme des enfants.
À quel modèle les deux jeunes filles peuvent-elles bien s’identifier ? Leur cousine Louise abandonne sa carrière d’actrice pour devenir mère de famille. Leur tante Rachel est à ce point dévouée à ses parents qu’elle laisse s’éloigner sa précieuse amie Sid. Et pendant que Zoë, la belle-mère de Clary, s’éprend d’un Américain, les in délités d’Oncle Edward à l’égard de Tante Villy menacent de tout faire voler en éclats.
Malgré les sirènes et les bombardements, Londres est toujours plus attirante que Home Place, où règnent un froid glacial et une atmosphère de plomb.

Mes impressions de lecture :

Ce troisième tome débute vraiment à la suite du tome 2. On retrouve les personnages chacun avec ses préoccupations, ses questionnements et ses doutes.

Ce qui me surprend c’est que tome après tome c’est de découvrir à chaque fois un pan supplémentaire de l’intimité des protagonistes. Que cela concerne la vie des personnages avec leurs projets ou leur passé, leurs expériences heureuses ou malheureuses, tout ce qui est des pensées et des actes. Mais cela peut aussi aller dans la découverte de leur corps. Cela peut partir d’un vêtement ou d’un aspect physique pour aller vers les pulsions sexuelles ou la maladie. De la joie à la souffrance.

J’ai remarqué dans ce nouveau tome l’importance du corps et des effets miroir. On a de plus en plus, me semble t-il, d’écho entre la jeunesse et la vieillesse. Les personnages âges semblent décliner rapidement comme si l’usure de la guerre se faisait plus sentir que j’ai les jeunes. Est-ce le fait de commencer par le décès de Sybil qui a marqué mon esprit ? Ou est-ce voir Miss Millicent si démunie ?

On retrouve bien sûr le thème de l’adultère, avec la différence entre les hommes et les femmes qui ne voient pas les choses de la même façon. Nous sommes en 1942.

J’aime toujours autant Polly et Carry et leurs questionnements quand à leur avenir. La mort de Sybil et le poids de la guerre jouent un rôle aussi dans leur réflexion.

On sait combien cette période est une époque de changements sociaux déjà amorcés lors de la précédente guerre.

La vie quotidienne avec les rationnements et les coupons complique bien des choses. Être à la campagne et presque en huis clos pour une partie de la famille cela donne à la vie de tous les jours un autre rythme. Je ne sais pas dans quelle mesure la période que nous vivons ne rentre pas en résonance avec ce qu’on lit et donne au texte une autre saveur.

J’ai aussi trouvé très intéressant les différents types de logements décrits car ils révèlent des éléments de la vie des personnages. Prenons le premier chapitre (pour ne pas trop dévoiler) on a la grande maison et les autres autour, mais très vite on est dans la chambre de Sybil, avec son mobilier et ses effets personnels. Et Polly repart avec un carton… on découvrira d’autres chambres au cours de ce roman, on va du général au particulier à un détail.

C’est une série où le moindre détail semble avoir son importance.

Et dire qu’il faudra attendre encore quelques mois pour avoir la suite de cette saga.

Je remercie les Éditions de la Table Ronde de leur confiance.

Une saison à Hydra

 Elisabeth Jane Howard

Trad . Cécile Arnaud

Intro : Sybille Bedford

Editions de la Table Ronde, La Petite Vermillon, 2020, 544 p., 8,90 €

Existe aussi au Quai Voltaire pour ce qui aime le grand Format.

Mes lectures de la Table Ronde

saison hydra vermillon

4e de couv. :

À soixante et un ans, Emmanuel Joyce est un dramaturge à succès. Accompagné de sa femme Lillian et de son manager dévoué Jimmy Sullivan, qui partage leur vie nomade, il s’apprête à quitter Londres le temps de repérer une comédienne pour la production de sa dernière pièce à Broadway. Alors qu’aucune candidate ne fait l’affaire, surgit l’idée de confier le rôle à Alberta, sa secrétaire de dix-neuf ans, tout droit sortie du presbytère de son père dans le Dorset. Seulement, il faudra lui apprendre le métier. Ils embarquent pour l’île grecque d’Hydra où Jimmy aura six semaines pour faire répéter l’ingénue, tandis qu’Emmanuel tâchera de renouer avec l’écriture. Lillian, fragilisée par sa maladie de cœur et dévastée par la mort de leur fille survenue plusieurs années auparavant, profitera de cette parenthèse loin des mondanités du théâtre pour tenter d’exorciser ses démons. Pourtant, elle ne sait se défaire de certains tourments : et si Emmanuel s’éprenait de la délicieuse Alberta? Le temps d’un été brûlant, la dynamique qui lie les quatre exilés prend une tournure inattendue, et la vie de chacun change de cap.

MES IMPRESSIONS DE LECTURE :

 Ce roman est une belle surprise pour moi. Je vous avais parlé de la saga des Cazalet lors de la sortie du premier tome, je vais bientôt vous parler du deuxième tome et du plaisir que j’avais eu. Mon expérience est différente ici, comme le roman aussi me direz-vous.

J’avais lu les deux premiers chapitres il y a un an… je suis contente de ma découverte aujourd’hui. Il faut savoir que c’est un roman qui se déroule en 1958 et surtout qu’il a été publié en anglais en 1959. C’est un roman qui a passé la barrière des années, peut-être est-ce dû à la traduction de 2019 de Cécile Arnaud. Je vous laisse découvrir aussi l’introduction de Sybille Bedford.

Nous avons quatre personnages d’âge différents un couple  Emmanuel (61 ans) et Lillian (44 ans) puis Jimmy la trentaine et Alberta 19 ans qui gravitent autour de ses deux planètes.

Chacun a son passé assez chargé, il y est beaucoup question de perte de repères parentaux. Ils ont tous au moins perdu un de leur parent jeune et cela a eu des conséquences dans leur développement.

L’histoire débute sur la dernière frasque d’ Emmanuel, il aime sa femme mais ne peut s’empêcher de se laisser tenter par les starlettes et les jeunes secrétaires… Lillian s’inflige ses souffrances car elle l’aime… et comme pour enfoncer un peu plus le clou, Lillian a le cœur fragile au sens premier du terme.

On sent dès le début du roman qu’on est sur un point de bascule. Il ne manque qu’une goutte pour faire déborder le vase, on imagine alors toutes les conséquences dramatiques. D’autant qu’on est dans le milieu du théâtre, de la représentation…

Arrive alors dans leur vie un être pur « Alberta », Lillian lui propose de devenir la secrétaire de son mari. Est-ce que Emmanuel va la séduire, la pervertir ou est-ce elle qui va le faire succomber ? L’arroseur arrosé ?

Emmanuel incarne un rôle du génie à qui ont passe tout les excès. On le trouve presque antipathique, on l’étiquèterait presque de « salop » de l’histoire. L’ogre dévoreur. D’ailleurs certains des chapitres qui lui sont dédiés sont à la troisième personne, alors que les chapitres avec le point de vue des autres personnes sont à la première personne.

On va découvrir les personnages en profondeur au fur et à mesure que l’intrigue progresse. On va mieux les comprendre, les cerner.

Alberta va servir de déclencheur de par son honnêteté, son bon sens et sa fraîcheur elle va provoquer des bouleversements profonds. Elle va réaligner les planètes…

Le séjour à Hydra, est une parenthèse qui va se révéler décisive…

J’ai beaucoup aimé la thématique du masque (rien à voir avec ce que l’on vit). Les conventions sociales et le personnage qu’on attend que vous incarniez, du masque que vous portez dans la sphère plus intime pour vous protéger et aussi pour répondre à une attente… Ceci est encore plus « naturel » qu’on est dans le milieu de la comédie et du drame.

La thématique de la fuite en avant, ne jamais se poser, rester nomade, ne pas avoir d’attache pour rester libre etc. Le choix d’une vie de Saltimbanque pour sans cesse se renouveler, rebondir ne vous en dirais plus pour vous laisser profiter des émotions de la découverte. Le mouvement et la vitesse se retrouve aussi dans les moyens de locomotion Train, avion, bateau, voiture, âne et marche… la vie qui va avec change de rythme en même temps.

On passe de l’Angleterre et les racines familiales, à la légèreté de New-York pour finir avec la Grèce berceau des tragédies antiques…

J’ai retrouvé des thématiques que j’affectionne celle de la famille et des éléments naturels…

Je vous laisse découvrir vos propres centres d’intérêt et votre émotion face à l’écriture.

Je remercie les Éditions de la Table Ronde, La Petite Vermillon de leur confiance.

Bonne lecture.

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Étés anglais

La saga des Cazalet. Tome1

Elisabeth Jane Howard

Trad. Anouk Neuhoff

Éditions de la Table Ronde, 12 mars 2020,576 p.,  24 €

Mes Lectures de la Table Ronde

En librairie le 12 mars 2020

étés anglais

4e de couv. :

Juillet 1937. À Home Place, au cœur du Sussex, jardiniers, femmes de chambre et cuisinière sont sur le pont. La Duche orchestre le ballet des domestiques avant l’arrivée de ses trois fils, Hugh, Edward et Rupert Cazalet, en chemin depuis Londres avec épouses, enfants et gouvernantes. Où dormira Clary, adolescente mal dans sa peau en plein conflit avec sa belle-mère? Quelle robe portera Villy, ancienne ballerine désormais mère au foyer? Polly, terrorisée à l’idée qu’une guerre éclate, s’entendra-t-elle avec sa cousine Louise qui rêve de devenir actrice? Rachel, la seule fille de la Duche, trouvera-t-elle un moment pour ouvrir la précieuse lettre de son amie Sid?
Non-dits, chamailleries, profonds chagrins… Aux préoccupations des adultes font écho les inquiétudes des enfants, et à la résilience des femmes, qu’elles soient épouses, fillettes ou domestiques, répond la toute-puissance – ou l’impuissance – des hommes. L’été regorge d’incertitudes mais, sans l’ombre d’un doute, une nouvelle guerre approche : entre pique-niques sur la plage et soirées auprès du gramophone, il faudra inventorier lits de camp et masques à gaz.

Ma chronique :

J’aime beaucoup l’écriture de Elisabeth Jane Howard et l’acuité de son regard sur ses contemporains. En 1937, elle avait à peut près le même âge que les deux gamines qu’on voit évoluer dans se monde qui change. Bien qu’elle n’est commencé à écrire cette saga en 1983 ont ne peut s’empêcher d’imaginer l’écrivaine se plonger dans ses souvenirs.

Lorsque j’ai vu la couverture de ce premier tome j’ai trouvé qu’elle représentait bien cette société de nantis anglais. Je dirais même que le mot vert anglais m’est venu à l’esprit quoiqu’ici il tirerait presque sur le kaki foncé. Vous allez dire que c’est superflu mais avouez que tenir entre les mains un livre agréable à lire c’est un petit instant de plaisir. En effet le livre est souple et malgré le nombre de page il s’ouvre bien.

Elisabeth Jane Howard décrit les couples de la haute société britannique dans le moindre détail.

Dans étés anglais » on découvre cette famille dans l’intimité. Chaque scène ressemble à un tableau qui nous révèle les personnages de l’intérieur de leur tête, de leur demeure (ou entreprise), puis en société. L’idée de ses différents angles de vue donne une certaine richesse au texte.

On retrouve parfois des effets de miroir (image inversée). Par exemple Mrs Cazalet va s’acheter deux robes et repart avec trois car la couturière est bonne commerçante. Et elle a besoin de réconfort, de penser un peu à elle. Une autre scène nous montre Phyllis la femme de chambre qui voulait s’acheter une robe d’été soldée et finit par acheter un coup de tissus, car elle doit faire attention à son maigre budget. On va ainsi avoir le montant annuel de ses gages et le prix des robes que sa maîtresse va s’acheter en une seule fois.

Un autre effet miroir avec les mêmes personnages. Madame en couple qui subit les relations sexuelles de son mari ; Alors que Phyllis 24 ans ne voit son fiancé que quatre fois par an. Ils n’ont pas les moyens de se marier et elle émue lorsqu’il lui passe le bras sur ses épaules au cinéma.

Côté homme on voit le fiancé de Phyllis courtois et droit, alors que le mari de Mrs Cazalet la trompe allègrement.

On retrouve cette dualité dans le récit assez souvent cela crée des comparaisons sur le plan moral et économique.

Polly et Louise sont cousines germaines d’à peu près le même âge à un ou deux ans près. Mais elles ont un vécu différent. Le père de Polly est revenu de la première guerre mondiale blessé et son frère le père de Louise est revenu indemne. Polly elle va acheter des objets pour se constituer une sorte de trousseau petit à petit, alors qu’on va voir Louise s’acheter un poisson rouge… elles n’ont pas la même maturité.

Une fiche détachée reprend tous les personnages, ce qui peut à l’occasion nous remettre les personnages à leur place. Dans l’ensemble il n’y a pas de soucis pour enregistrer chaque personnage car l’écrivaine à su mettre la lumière sur chacun. Cependant c’est un livre qu’il ne faut pas poser trop longtemps.

C’est un roman parfait pour les lecteurs de longues sagas. L’écrivaine va nous raconter dans le détail des scènes qui mettent en avant toute la palette des sentiments humains pas toujours reluisant. On va découvrir qu’à chaque âge il y a des préoccupations différentes, on va suivre les personnages dans leurs petites cachotteries, leurs dénis ou leurs émois.

On va découvrir cette Angleterre qui a encore des stigmates de la première guerre mondiale au sein de ses familles qui essai de ne pas voir arriver la catastrophe… ce premier tome se termine avec la fin de la paix. On vit bien les moments clés de l’Histoire mais vu depuis la sphère familiale.

J’ai pris grand plaisir à me plonger dans ce monde protégé. Je n’en avais jamais entendu parler. Il faut dire que je ne lis pas en VO et comme il n’existait pas de traduction c’était donc difficile, je ne connais pas n’ont plus la série. Parfois dans d’autres histoires on peut avoir une référence à tel ou tel roman, mais là rien.

J’ai bien entendu aimé tout ce qui concernait la condition féminine. Elisabeth Jane Howard n’hésite pas à jouer avec l’ironie sur certains sujets.

J’espère lire le tome 2 cet automne.

Je remercie les Éditions de la Table Ronde de leur confiance.

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NB : je lis depuis quelques mois une série plus légère « son espionne royale » qui se déroule en Angleterre en 1932, et c’est drôle d’entrecroiser certaines informations.

Article précédemment publié sur canalblog