Challenge #PayeTonSlip

Je vous disais il y a quelques mois que je participais à des RWM (read with me / lis avec moi) sur la chaîne Twitch de Séverine / ilestbiencelivre. Lieu de perdition où l’on lit et où engrange des envies de lecture. J’ai donc succombé à cette proposition de challenge estival. Elle a aussi une chaîne Youtube ICI où elle explique tout son programme.

Oui, j’avais dit plus de Challenge puisque je ne tiens pas sur la longueur. Celui-ci je pense que je peux y arriver… Je vise le L …. mais si c’est un M je ne vais pas me plaindre puisque c’est un bikini (c’est bien le seul que j’aurais !). Il n’y a aucune contrainte alors je pourrais le combiner avec d’autres challenges.

Ce n’est pas tout ça mais que vais-je lire ?

Je vais déjà me mettre à jour dans mes SP. Puis, j’espère que j’aurais des livres de la rentrée. Et puis il y a les achats depuis quelques mois. Ce Challenge c’est aussi l’occasion je piocher dans la Pal qui prend la poussière. Vous savez tous les je veux les lire immédiatement qui vous regardent de travers quand vous passez devant sans les prendre dans les mains (oui les livres ont des yeux !, et aussi des petites pattes pour jouer à cache-cache !).

Je ne mettrais pas de liste de livres à lire … vous verrez dans un autre article qui vous présentera un autre challenge. Je garde la notion de plaisir et d’envie alors je m’autoriserai tous les écarts…

Comédie du livre 2022

Chers lecteurs,

Je suis allée vendredi 20 mai à la Comédie du livre de Montpellier dans le cadre de mon travail. J’ai donc eu le plaisir de rencontrer des éditeurs, auteurs et traducteurs grâce à Occitanie livre & lecture. Le vendredi ce sont surtout les écoles qui viennent participer à des animations et tous les auteurs ne sont pas présents. il y a aussi les auteurs qui sont dans des rencontres un peu partout dans la ville. Cependant quel plaisir de pouvoir s’attarder avec ceux qui sont là puisqu’il n’y pas le rush du week-end. Ne pouvant pas rester les trois jours j’ai apprécié chaque rencontre.

Départ de la maison 6h30… train à 7h arrivée à la gare Saint Roch à 8h30… et grimpette vers l’esplanade… et la DRAC..

Entrée de la salle de musique
Jardin de la DRAC
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Table ronde sur les littératures européennes avec Muriel Morelli, traductrice, Corina Ciocârlie, autrice, Charles-Henri Lavielle et Liana Lévi, éditeurs.

Bien sûr j’ai raté mes photos !

Liana Lévi, éditrice
Charles-Henri Lavielle éditions Anacharsis

Désolée pour les autres participantes…

Des intervenants très passionnés nous ont parlé de leur travail, de leur vision de la littérature européenne. C’est terrible d’écouter les éditeurs défendre leurs petits on a envie de tout acheter et de tout lire !

De mon délicieux déjeuner en bonne compagnie point de photo trop occupée à parler et à savourer sur l’esplanade les délicieux mets…

Vous allez voir je vais faire un beau voyage international en commençant par la suisse, la Roumanie, le Luxembourg, la France, l’Amérique, l’Italie, l’Espagne…

Nicolas Feuz

Quel plaisir de retrouver cet auteur rencontré sur le Lydia en septembre et sur le zoom de VLEEL... je ne suis pas repartie avec Brume rouge mais avec le premier de la série « le miroir des âmes », il m’a averti je dois m’accrocher un peu… car il va y avoir des scènes assez rudes.

Cette année il ne sera pas au Festival Polar et Aventure du Barcarès…

Corina Ciocarlie faisait partie des intervenants de ma journée professionnelle. Cette balade littéraire qu’elle nous propose m’intrigue beaucoup. Comme vous pouvez le voir la couverture du livre est est très travaillée, j’aime ce genre de détails, mais moi qui aime que mes livres soient couverts c’est toujours frustrant de bloquer les rabats !

Laurine Roux j’ai découvert en début d’année « le sanctuaire » un joli coup de cœur, puis vue et écoutée en interview sur le zoom de VLEEL… un nouveau groupe de tentateurs qui mettent en avant surtout les maisons d’éditions indépendantes. Ce qui est bien dans ces rencontres discussions sur internet c’est qu’on a l’impression de continuer une conversation lorsqu’on rencontre la personne en vrai.

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Eddy L. Harris, ses romans ont des thématiques fortes que son éditrice Liana Lievi a su nous communiquer. Je ne pouvais pas repartir sans un de ses romans. J’ai choisi « Mississippi Solo » car l’eau aura un rôle à jouer…

Je n’ai pas acheté de livres des éditions Anacharsis car dernièrement je me suis offert « L’oeil de cuivre » de Panagiotis Agapitos et « l’art d’assaisonner les textes » de Sophie Rabau (dédicace à Lagrasse)

Il faisait beau c’était très plaisant de passer d’un stand à l’autre, d’une tentation à l’autre…

Je n’ai pas pu voir Christine Feret-Fleury qui devait être dans une animation. J’ai un de ses romans maintenant.

4e de couv.

Sanna fait partie des Cramés, des esclaves qui travaillent à la mine et exploitent les matériaux rares. Sa vie n’est plus ce que ce qu’elle était et elle peine à survivre. Tout comme la Terre qui est victime de nombreux phénomènes météorologiques dévastateurs. Son ami d’enfance, Kay, a disparu quelques années plus tôt et le jour de la mort de Grand’, la grand-mère de celui-ci, la jeune fille se fait mettre à la porte de sa propre maison. Elle décide alors de partir à la recherche de Kay…
Commence pour elle un long voyage en direction des montagnes, où vivent les Glacés, un groupe de personnes qui se sont réfugiés sous un bouclier climatique qui les protègent des aléas atmosphériques. Sanna retrouvera-t-elle son meilleur ami ?

Un petit tour sur le stand des Éditions du Cabardès, c’est toujours un plaisir de rencontrer l’éditrice Monique Subra qui défend ses publications avec passion. C’est ouvrages sont très prisés par les lecteurs de la médiathèque où je travaille.

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Michel Izard
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Je n’ai pas trop eu le temps d’écouter Michel Izard, mais le peu que j’ai entendu m’a convaincue qu’il s’agit d’un passionné qui aime raconter …

J’adore revenir d’une journée comme celle là avec mon petit sac plein de goodies et de livres !

J’espère vous parler très prochainement toutes ces belles lectures en perspective… J’ai été raisonnable vous ne trouvez pas ?

Comme il n’y a pas que des livres… j’ai profité de ma venue à Montpellier pour voir l’exposition

L’exposition dont vous ne voyez là que quelques fragments est assez sombre, crue et violente à mon goût. J’ai apprécié certains « détails ». Des œuvres qui ne laissent pas indifférent le spectateur. je ne connaissais pas du tout. Je pense qu’il faut un médiateur pour aller au de-là du simple ressenti.

Ce que je retiendrais de cette comédie du livre ce sont les sourires, le plaisir de retrouver des rencontres en « vrai » et les découvertes… Merci aux auteurs d’avoir joué le jeu et d’être photographiés avec ma « Ramettes »…

J’espère que ma petite balade vous a plu…

Sylvie Allouche

SYLVIE ALLOUCHE , auteur jeunesse

J’ai découvert cette autrice et chaque livre est une surprise. Des histoires fortes qui touchent le lecteur.

Vous trouverez ci-dessous les romans de cette autrice que j’ai lu et chroniqué sur ce blog. Il suffit de cliquer sur les images pour en savoir plus :

« Brothers »

Première histoire.

On découvre la cité des fleurs où il ne fait pas toujours bon vivre. heureusement on peut compter sur quelques personnes.

« Twist again »

Les personnages de « Brothers » toujours aussi attachant dont la vie n’est pas toujours très rose… ou alors avec beaucoup d’épines…

« Stabat murder »

Première enquête de Clara Di Lazio

« Serial Tattoo »

Deuxième enquête de Clara Di Lazio

« Snap Killer »

Troisième enquête de Clara Di Lazio

« Go fast go slow » quatrième enquête de Clara Di Lazio

4e de couv. :Quand Camille rencontre Tommy, c’est le coup de foudre. Aveuglée par cet amour, elle se laisse embarquer dans un trafic de drogue, pour le compte d’un homme surnommé « l’Indien ». Jusqu’à la dernière livraison, qui fait voler tous leurs rêves en éclats…
Sept ans plus tard, la commissaire Clara Di Lazio s’intéresse au réseau de « l’Indien », dont l’ombre plane sur plusieurs affaires. Mais elle est appelée en urgence à Saint-Malo : son jeune frère Vincent, disparu depuis des années, pourrait avoir refait surface.
Pour mener ces deux enquêtes de front, Clara devra plus que jamais compter sur son équipe…

« Ethan et Orion » un joli conte.

« La musique des âmes »

Une triste et belle histoire.

Mes activités sur Twitch…

Chers lecteurs,

Cet article est proche du blablabla pour certains et apportera des éclaircissements pour d’autres. Il fait suite à une discussion que j’ai eue avec une copine.

Les confinements et la pandémie ont permis de développer d’autres façons de créer des salons de discussions avec les lecteurs. Cela m’a permis de belles rencontres virtuelles que je n’aurais pu faire en temps « normal ».

Vous connaissez Youtube, Instagram et Facebook où des vlogueurs parlent de leurs centres d’intérêt. Je connaissais aussi un peu discord (je ne me souviens plus avec quel groupe j’avais dû communiquer par ce biais là il y a fort longtemps), j’ai aussi des joueurs de jeux en ligne dans mon entourage qui s’en servent et comme j’aime découvrir toutes ces façons de communiquer même si je pratique peu.

Il y a plus d’un an, des fondateurs d’une très jeune maison d’édition étaient interviewés sur Twitch par un lecteur de littérature de l’imaginaire / joueur de jeux vidéo… Ce fut l’occasion de créer un compte de voir ce qu’il s’y faisait. J’ai repéré des communautés de jeux vidéo, d’art et d’actualité en attendant la fameuse soirée. Mais mon principal centre d’intérêt étant la lecture j’y allais et assez peu. Je m’en suis aussi servi pour mon travail de « veille » pour la bibliothèque, j’explorais un peu les comptes qui touchaient à la science, c’est très chronophage et j’ai petit à petit laissé tomber.

Mais qu’est-ce que c’est twitch ? C’est une plateforme (associée à Amazon)qui a pour vocation de créer du contenu en direct (live). Les rediffusions (replay) ne restent pas très longtemps. Il faut que ça tourne, que cela bouge, il y a une dynamique liée à instantané et à la nouveauté, et hop on passe à autre chose. Cela peut être déroutant mais on finit par reprendre ce rythme du consommable, jetable.

Il y a quelques mois, il y a eu des couacs sur Youtube et les vlogueurs littéraires ont cherché une autre façon de communiquer avec leur communauté, certains se sont essayés au « lives » Facebook ou « itv » sur Instagram jusqu’à la migration vers Twitch.

Lors du mois de Morgan of Glencoe sur le blog de Book en Stock, l’autrice qui est aussi musicienne nous a parlé de sa routine matinale où elle partageait tous les jours (ou presque) ses séances d’exercices à la harpe, j’y suis allée parfois lorsque le travail me le permettait et j’y ai pris goût.

(tout dépendant deÀ quelques temps de là, j’ai découvert que Séverine de « Il est bien ce livre » faisaient des « read with me » et je suis allée voir de quoi il s’agissait. Et c’est génial, cela m’a rappelé mes « soirées ensemble lecture commune » qu’on avait fait avec Langue Déliée sur FB, mais là il y a l’image et le son. On est dans la spontanéité et l’improvisation. Elle parle à sa communauté qui lui répond à l’écrit dans le « tchat » (oui je mets un T). Et au bout de quelques minutes, elle lance un chrono et pendant environ 45-60 mn chacun vaque à ses occupations, en théorie c’est le moment de lecture. Un fond d’écran apaisant et une petite musique accompagnent les auditeurs. Souvent je coupe le son si je lis. Le chrono fini, chacun vient mettre son petit commentaire (rien d’obligatoire) sur son avancement dans sa tâche ou lecture. Séverine répond à la plupart des messages (tout dépendant du nombre de participants) si elle a déjà lu ou a envie de lire tel ou tel livre cela donne lieu à une petite discussion… parfois ça dérive sur d’autres sujets , plus personnels. Cela crée une vraie communauté vivante. Il y a le noyau dur des copines qui se suivent.

Quel intérêt de lire de cette façon ? Cela change de la lecture solitaire. Parfois, on a un coup de mou et au lieu d’aller regarder une vidéo ou de scroller sur son téléphone on entre dans le mouvement et on lit. En janvier et février cela m’a permis de créer une bulle entre le travail (qui se poursuivait à la maison) et mes moments de détente. Et puis les 10-15 mn de bonne humeur entre les sessions de lecture c’était un moment de détente.

Séverine fait aussi d’autres types d’activités sur Twitch, des récapitulatifs lectures, des bilans, des sorties de livres, les « lives interactifs ou elle donne la parle à d’autres lecteurs »… Autant ses vidéos Youtube bien préparées, je ne les regardais pas forcément autant là lorsqu’elle fait ses présentations et qu’elle inclue les interventions des copinautes dans le tchat, cela me donne envie. En écrivant cet article, je me souviens qu’elle faisait des livres sur FB au coup par coup mais j’étais moins attirée, c’était un peu noyé dans tout le flux FB (dans ma tête). Vous trouverez son planning sur les réseaux.

Elle a récemment lancé des samedis « marathon » ou « semi marathon lecture ». C’est le même principe que le « read on me » mais cela dure de 12h-minuit ou 18h-minuit. Chacun vient en fonction de ses disponibilités… Hier c’était 18h-minuit » j’ai pris en cours de route et je suis restée concentrée sur mon roman une bonne partie de la soirée…

Ces « rencontres » virtuelles permettent de découvrir des livres récents ou ancien, c’est très plaisant, le lundi il y a le démarrage d’une lecture commune (mais on peut lire et parler d’une autre lecture). Même si elle est très spécialisée « thriller-polar » elle ne reste pas fermée à ce genre là.

Depuis, petit à petit dans les discussions, des lectrices (et quelques lecteurs) partagent d’autres noms. Le problème de Twitch c’est que la communauté de lecteurs n’est pas facilement identifiable. Lorsqu’on cherche « jeux » on a des propositions en fonction des différents types de jeu, mais il n’y a pas encore l’étiquette « littérature » ou « livres », c’est souvent dans « discussion »..

J’ai ainsi découvert « MadamePointVirgule » (elle fait des sprint de 30 mn), « histoiresDeMo », « Pikitibouquine », LaCultureJ, Labouquinade » « MrCabrik » « Corn8lius » …. Certains allient lecture et écriture, jeux vidéo, activités manuelles, couture, dessin, musique etc.

Dernière petite chose, c’est gratuit mais il y a possibilité de s’abonner ainsi faire une petit contribution financière au créateur de contenu, mais rien d’obligatoire, il y a donc parfois une pub. Pour l’instant, les comptes que je suis sont dans la phase partage et c’est bon enfant. Il y a des comptes plus « professionnels » ou il faut souscrire pour participer.

En conclusion, je dirais que ce genre de plateforme créent une dynamique très intéressant à l’international et cela touche toutes les tranches d’âge, cela crée une certaine diversité.

Je vous rassure je ne suis toujours pas prête à me lancer dans une telle aventure ….

J’espère que ce petit article vous aura plu et qui sait si on ne se croisera pas sur Twitch et on boira un café ou un thé virtuel !

Si vous avez un compte Twitch laissez vos coordonnées et j’irais explorer.

À bientôt pour une autre de mes activités qui enrichi ma vie de lectrice et de blogueuse.

Série « dix minutes » de Jean-Christophe Tixier

Vous pouvez retrouver l’actualité de Jean-Christophe Tixier sur son site : ICI

J’ai découvert cette série en 2015 lors de la publication de la première aventure et depuis je n’en rate pas. Pour vous y retrouver voici tous les titres…

Le titre du premier épisode m’avait fait sourire mais depuis j’adore le fait de jouer avec l’expression « dix minutes ». Il a reçu de nombreux prix.

En juillet 2021 est paru cette première compilation des trois premiers titres. J’ai lu les titres en individuels dans l’ordre de publication.

Au cours de l’année 2022 paraîtra « Dix minutes non-Stop 2 » la deuxième compilation

En attendant vous avez les titres individuels :

Dans la collection Tip Tongue 2022

Aux Forges de Vulcain

Aux Forges de Vulcain est une maison d’édition fondée en 2010

Depuis 2013 j’ai plus ou moins un partenariat…

Une longue histoire !

Je profite de ma venue sur une autre plateforme de blog pour faire des sortes de bilans sur ce que j’ai fait ces douze dernières années. Pour mes nouveaux lecteurs c’est aussi l’occasion de me découvrir.

Dans cette Liste il y a des Service Presse et des achats personnels, des cadeaux et  il y a même une Wish List…

Il y a ceux qui ont été chroniqués sur ce blog et d’autres dont les chroniques se sont perdues sur d’autres supports…

Ceci n’est pas un article juste une liste pour garder une trace… c’est d’ailleurs à cette occasion que je me rend compte de certaines anomalies… Je pensais mettre les 4e de couverture des livres présentés ici et j’ai changé d’avis car cela ressemblait à un mini catalogue des Forges de Vulcain. Donc pour en savoir plus cliquez sur les photos et autres liens.

Vous noterez l’évolution des couvertures et les différents styles. Et si vous lisez mes chroniques vous verrez qu’elles ont évolué (en mieux j’espère !).

Article en perpétuelle évolution !

Marie-Fleur Albecker

« Et j’abattrai l’arrogance des tyrans » Marie-Fleur Albecker

4e de couv . : En 1381, la grande peste et la Guerre de Cent ans ont ruiné le royaume d’Angleterre.

Quand le roi décide d’augmenter les impôts, les paysans se rebellent.

Parmi les héros de cette première révolte occidentale :
– John Wyclif, précurseur du protestantisme,
– Wat Tyler, grand chef de guerre,
– John Ball, prêtre vagabond qui prône l’égalité des hommes en s’inspirant de la Bible.

Mais on trouve aussi des femmes, dont Joanna, une Jeanne d’Arc athée, qui n’a pas sa langue dans la poche et rejoint cette aventure en se disant que, puisque l’on parle d’égalité, il serait bon de parler d’égalité homme-femme…

« Ni seuls, ni ensemble » Marie-Fleur Albecker
4e de couv. :
Louise et Karim sont deux jeunes gens de notre temps, que bien des choses opposent et qui, malgré leurs différences, se rencontrent, s’aiment, et se mettent en couple. Mais peu à peu, une troisième voix entre avec eux dans leur nouveau foyer : la société. La société qui a des idées bien arrêtées sur ce que devrait être une femme, ce que devrait faire un homme, sur ce que l’on doit manger, porter, acheter, accepter, refuser, encourager, détester, aimer. Est-ce une si bonne idée, de faire couple, quand tout conspire contre vous ?

Jean-Luc A. d’Asciano

« Tamanoir » Jean-Luc A. d’Asciano

4e de couv. :
Dans le cimetière du Père Lachaise, au petit matin, trois meurtres. Non : deux. Car une des victimes se relève, prend son chat sous le bras et s’enfuit. Quand il apprend ces meurtres dans le journal, Nathanaël Tamanoir, un privé anarchiste et volontiers querelleur, se dit qu’il faut qu’il fouine. Il va fouiner, mais à sa manière. En créant le maximum de chaos possible.

« Souviens-toi des monstres » Jean-Luc A. d’Asciano PAL À LIRE …


4e de couv. :
L’histoire : Nous sommes en Italie. Dans une Italie fantastique, pleine d’anarchistes, d’assassins, de femmes rebelles, de prêtres défroqués, de diables athées et d’animaux plus ou moins domestiques. Raphaël et Gabriel naissent dans une famille de marins et de contrebandiers. Ils sont siamois. Bien que monstrueux, ils ont un don magique. Leur chant leur permet de tordre la réalité, d’accomplir des miracles, de réveiller des êtres issus du domaine des morts. Leur destin : être les derniers témoins d’un monde effervescent et picaresque, qui est amené à disparaître. Un monde de monstres.

Michèle Astrud

« Chevrolet impala » Michèle Astrud

4e de couv. :
Une jeune Américaine naïve est entrainée dans le sillage d’un richissime acteur français, également trafiquant de drogue. Elle le quitte – plusieurs fois. Lui passe quelques années en prison, puis reprend de sa superbe. Elle réussit à garder ses distances malgré la surveillance qu’il exerce sur elle. Elle devient agent d’artistes. C’est alors que cet homme la réclame plus instamment. Dans ce roman noir qui donne corps aux femmes qui ont fait partie de la French Connection, Michèle Astrud, avec son écriture fine et cinématographique, dessine la naissance d’une femme forte, prisonnière des hommes, de l’argent, du crime.

« La nuit je vole » Michèle Astrud

4 e de couv. :
Michèle se réveille au sommet d’une montagne. Elle est atteinte d’une forme rare de somnambulisme ; quand elle dort, elle s’envole. Son
talent ne passe pas inaperçu et tout le monde veut l’approcher. D’où vient ce don ? Pourquoi apparaît-il là, brusquement va-t-il rester ? Va-
t-elle parvenir à le contrôler ? Comme les plus beaux romans de réalisme magique, qui examinent les conséquences naturelles de faits surnaturels, ce conte part d’un postulat fantastique pour parler du poids de la famille, de la folie médiatique et de ce désir intime d’être libre et de voler loin de ces contraintes.

« Nous entrerons dans la lumière » Michèle Astrud

4e de couv. :
« Je suis le guetteur de la nuit, le gardien des hautes cimes. Je surveille l’arrivée du désert, l’avancée des tempêtes… »
Dans un monde détruit, chacun lutte férocement pour sa survie. Chaque jour, Antoine se bat contre l’oubli, en photographiant son environnement en train de disparaître. Seul, il n’a plus que Chloé, sa fille traumatisée, qui réside dans une institution. Sonia, son amour de jeunesse devenu documentariste, réapparaît alors, pour terminer le film qu’ils avaient jadis commencé. Antoine décide de partir sur la route avec Chloé, dans l’espoir de sauvegarder l’œuvre de Sonia, et de les sauver eux-mêmes.
Roman initiatique, réflexion sur la mémoire et la filiation, Nous entrerons dans la lumière emporte ses lecteurs dans une atmosphère des derniers jours où l’obscurité gagne, dans une errance où l’oubli croît. Ensemble, Chloé et Antoine parviendront-ils à retrouver la lumière ?

« Le Jour de l’effondrement » Michèle Astrud

4e de couv :
Un jeune homme revient chez lui, au bord du fleuve où, cinq ans plus tôt, il a tué son meilleur ami. Fasciné, il redécouvre la ville de son enfance, étrangère et familière, et se remémore cette amitié tourmentée jusqu’à l’événement fatal.

Récit entre ombre et lumière, roman intense et fervent où la nature reflète les passions, Le Jour de l’effondrement emporte son lecteur jusqu’à la résolution – et l’apaisement.

Edward Bellamy

« Un regard en arrière » Edward Bellamy

Lu … chronique perdue

4e de couv. :
Julian West, un jeune et riche Bostonien, s’endort un soir de mai 1887 et se réveille en l’an 2000. Grâce à son hôte le Dr Leete, il découvre, incrédule et émerveillé, une Amérique radicalement différente. Plus de riches, plus de pauvres, plus de problèmes matériels… plus de décisions à prendre : une société-mécanique où chaque rouage est à sa juste place.
Mêlant engagement radical et imaginaire visionnaire, Bellamy accompagne son héros dans une fable politique, décrivant un futur à la fois sombre et lumineux. Anticipation rétro, Un regard en arrière ne peut que surprendre le lecteur du XXIe siècle, qui trouvera dans le rêve de perfection de Julian West une utopie glaçante aux relents totalitaires.

Alex Burrett

« Ma chèvre s’est mangé les pattes » Alex Burrett

4e de couv. :
Quel lien peut-il bien exister entre une chèvre qui, faute de pattes, est obligée de barboter dans un étang arrimée à un radeau, une femme dont le dernier petit ami était l’ange de la Mort en personne, un abattoir à humains, un guerrier médiéval qui ne sait qui choisir entre sa femme et son chien, un homme indestructible mais qui l’ignore, un couple d’amants littéralement collés l’un à l’autre et qui deviennent des gourous du sexe, et bien d’autres encore ?
L’imagination fantasque d’Alex Burrett !

Louise Caron

« Chronique des jours de cendre » Louise Caron

4e de couv. :

Février 2007, dans la banlieue de Bagdad, le père de Naïm est tué lors d’une intervention militaire. Bouleversé, le jeune artiste pacifique décide de s’engager auprès d’une bande armée pour laver l’affront. Sohrab, sa compagne, ne parvenant pas à le raisonner, décide de l’accompagner dans sa quête de vengeance. Les relations se tendent entre le jeune homme qui essaie de se convaincre que la violence peut être une solution, et Sohrab qui lui rappelle en permanence l’absurdité de sa situation. Dans le même temps, Niko Barnes, soldat américain mélancolique, s’interroge sur les raisons de son engagement. Il couche ses pensées dans des cahiers où se mêlent souvenirs de son pays, doutes envers sa hiérarchie et culpabilité envers les Irakiens. Sévèrement traumatisé par la mort d’un de ses camarades, il lutte en permanence pour ne pas se noyer dans les remords. Les chemins des personnages finiront par se lier au hasard d’événements sur lesquels ils n’ont aucune prise, et qui conduiront leur histoire à une fin funeste, aussi absurde et brutale que peut l’être une situation née d’une guerre qui n’avoue jamais son nom. Louise Caron tisse une histoire dans l’Histoire, sans parti pris, avec toujours une grande justesse de ton qui mène le lecteur à questionner le rapport à l’autre : Qu’est-ce qu’un ennemi ? La vengeance peut-elle appeler autre chose qu’une violence égale en retour ?

« Les Rumeurs du Mississippi » Louise Caron

4e de couv. : Sara Kaplan, journaliste au New-York Times, reçoit la confession d’un ancien soldat, Barnes, vétéran de la guerre d’Irak. Barnes revendique le meurtre d’une tzigane de 17 ans. Meurtre pour lequel un Indien a été condamné cinq ans auparavant à la peine capitale. Sara Kaplan publie la lettre. L’affaire occupe d’un coup le paysage médiatique et divise l’Amérique. Sara est hantée depuis l’enfance par le suicide de son père, vétéran du Vietnam. En s’acharnant à vouloir montrer la responsabilité de l’armée dans la folie de Barnes, elle cherche à surmonter la tragédie qui a détruit sa famille. Dans sa quête, Sara nous entraîne de New-York à Hué en passant par le Sud désenchanté des Etats-Unis en crise. Elle dresse, au travers de ses personnages, un portrait de l’Amérique d’aujourd’hui, s’interrogeant sur le rôle de la presse, le racisme, la violence des conflits, et sur la malédiction qui condamne les gens sans mémoire à revivre sans fin leur passé.

Guillaume Chamanadjian

« Capitale du Sud. T3. Les contes suspendus » Guillauma Chamanadjian

4e de couv : Ikiro, jeune étudiant en architecture de l’université de Tokyo tombe follement amoureux de Midori, une jeune femme dont il sera passionnément épris, par-delà le temps et l’espace. Débute alors un voyage à la lisière entre deux mondes, guidé par le chat Pumpkin. Quotidien et merveilleux se mêleront dans cette histoire d’amour vertigineuse. Un hommage à un Japon magique, peuplé de yokaïs et d’animaux bavards. Est-ce que la passion des deux amoureux triomphera de la frontière entre le réel et le rêve ?

La Tour de Garde « Capitale du Sud. T2 Trois Lucioles » Guillaume Chamanadjian

4e de couv. :
Nox, l’ancien commis d’épicerie, est désormais seul maître à bord de l’échoppe Saint-Vivant. Il a pris ses distances avec la maison de la Caouane qui, enfant, l’avait recueilli. Mais personne n’est à l’abri des intrigues de la Cité. Dès la fin de l’hiver, tout ce que la ville compte d’opposants au duc Servaint s’est mis en tête que le duc devait mourir, et que la main qui le frapperait serait celle de Nox. Celui-ci consentira-t-il à tuer l’homme qui l’a élevé ? De sa décision dépendra le destin de Gemina.

« La Tour de Garde : Le Sang de la cité. T1 Capital Sud » Guillaume Chamanadjian

Je trouve ce projet un peu fou sur 3 ans et génial tant pour le lecteur que pour les auteurs et l’éditeur. Deux auteurs qui écrivent des « aventures fantasy » l’une se passant dans le Sud et l’autre dans le Nord et bien sûr il va y avoir des interactions que l’on suivra d’une part ou d’une autre. tome 1 de la capitale du Nord en octobre.

Alexis David-Marie

« Prométhée vagabond » Alexis David-Marie

4e de couv. : 1674. Paul, étudiant en quête de rédemption, est envoyé à la recherche de Larpenteur, théologien devenu auteur de pamphlets impies. Parcourant les chemins d’un Grand Siècle de boue et de neige, très loin des ors de Versailles, ils lient leurs pas – à ceux de nombreux compagnons de fortune. De mésaventures en péripéties, à travers le Saint-Empire et la France, une amitié se tisse entre les deux hommes. Prenant exemple sur Prométhée, ils devront dépasser la souffrance, brûler leurs certitudes pour espérer apporter la lumière. Roman picaresque, Prométhée vagabond questionne la difficulté et la nécessité de penser contre les habitudes, les majorités et toutes les pesanteurs du monde ; le plus dur étant toujours de reconstruire sur les cendres des croyances que l’on a mises au feu.

 

Claire Duvivier

« Capitale du Nord. T2 Mort aux Geais » Clairie Duvivier

4e de couv. :

Après les terribles meurtres de la maison De Wautier, le monde d’Amalia Van Esqwill s’est écroulé. Considérés comme les principaux suspects, Yonas et elle trouvent refuge dans les tumultueux Faubourgs de la ville. Mais s’ils peuvent se cacher de la garde havenoise, qui les protégera de l’emprise de l’enchantement ? Pour survivre, Amalia devra surmonter sa douleur, dompter ses peurs, s’adapter à la clandestinité… et accepter de confier son destin au jeu de la tour de garde.

Capitale du Nord. T. 1 Citadins de demain

4e de couv. :
Amalia Van Esqwill est une jeune aristocrate de Dehaven, issue d’une puissante famille : son père possède une compagnie commerciale et sa mère tient un siège au Haut Conseil. Progressistes, ils lui ont offert, à elle et à d’autres enfants de la Citadelle, une instruction basée sur les sciences et les humanités. Jusqu’au jour où le fiancé d’Amalia se met en tête de reproduire un sortilège ancien dont il a appris l’existence dans un livre. Au moment précis où la tension accumulée dans les Faubourgs explose et où une guerre semble prête à éclater dans les colonies d’outre-mer, la magie refait son apparition dans la ville si rationnelle de Dehaven. Et malgré toute son éducation, Amalia ne pourra rien pour empêcher le sort de frapper sa famille et ses amis. Deuxième roman de Claire Duvivier, Citadins de demain est le premier volume de la trilogie Capitale du Nord.

« Un long voyage » Claire Duvivier
4e de couv. :
Issu d’une famille de pêcheurs, Liesse doit quitter son village natal à la mort de son père. Fruste mais malin, il parvient à faire son chemin dans le comptoir commercial où il a été placé. Au point d’être pris comme secrétaire par Malvine Zélina de Félarasie, ambassadrice impériale dans l’Archipel, aristocrate promise aux plus grandes destinées politiques. Dans le sillage de la jeune femme, Liesse va s’embarquer pour un grand voyage loin de ses îles et devenir, au fil des ans, le témoin privilégié de la fin d’un Empire.

Jean-Baptiste de Froment

« Badroulboudour » Jean-Baptiste de Froment

4e de couv. :
Antoine Galland se retrouve un jour dans un hall d’aéroport, en partance pour un club de vacances en Égypte. Madeleine, sa femme, l’a quitté et, pour les vacances, lui a confié leurs deux petites filles. Antoine a bien besoin de vacances. Il reste éprouvé par son divorce, mais aussi par l’agitation de ces derniers mois, où lui, l’homme discret, maladroit, féru de littérature arabe, s’est retrouvé, bien malgré lui, embrigadé dans une grande opération de communication du jeune Président de la République, Célestin Commode, qui, cherchant la synthèse parfaite pour réconcilier villes et banlieues, jeunes et vieux, modernes et réactionnaires, en même temps qu’une astuce pour relancer la diplomatie arabe de la France, a décidé de remettre au goût du jour Antoine Galland, l’illustre homonyme de notre héros, et traducteur des célèbres Mille et une nuits. Mais notre Antoine, dans ce club de vacances, se retrouve pris dans un jeu mystérieux qui consiste à identifier, cachée parmi les vacanciers, la femme parfaite : Badroulboudour. Fable faussement naïve

« État de nature » Jean-Baptiste de Froment

PAL À LIRE

4e de couv. :

Qui n’a jamais rêvé d’être reconnu à sa juste valeur ? Claude est un homme qui a longtemps été discret. Il fait bien son travail, mais manque d’éclat. Quand la retraite de sa supérieure approche. Il se décide à briguer son poste. Mais une jeune femme dont la valeur est plus grande que le nombre de ses années, va se placer sur son chemin. C’est une histoire mille fois entendue : l’ambition contrariée. Sauf que Claude n’est pas n’importe qui. C’est un des plus hauts personnages de l’État. Sa supérieure, c’est la présidente de la République. Et son ennemie, c’est une jeune préfète, séduisante et charismatique – son contraire en tous points. Commence alors un duel politique et médiatique pour le contrôle d’un pays, d’un peuple, d’un État.

« Tout ce que tu devrais savoir avant de m’aimer » Gérard Guix

Si notre vie est un film, sommes-nous des acteurs… ou des spectateurs ?

Cinq ans se sont écoulés depuis la rencontre de Gérard et Anastasia à Londres. Cinq ans où, malgré la passion des premiers jours, ils se sont éloignés jusqu’à se sentir très loin l’un de l’autre, même s’ils sont dans le même lit. Ils sont maintenant sur le point d’embarquer pour un voyage sur la rive suisse du lac Léman. Là, dans la maison où l’actrice Audrey Hepburn a passé ses derniers jours, Gérard va tenter de relancer sa carrière littéraire tandis qu’elle essaie désespérément de sauver leur relation. Gerard Guix manie l’humour, le suspense et le fantastique dans ce roman empreint d’amour du cinéma, où lectrices et lecteurs découvriront s’il est possible d’effacer notre mémoire et de vivre sans aucun souvenir.

« Le cimetière » Gérard Guix

PAL À LIRE !!!

4e de couv. :

Dans un futur où le changement climatique et une catastrophe nucléaire ont réduit les espaces habitables, la surpopulation met en péril la vie. Il est devenu obligatoire d’incinérer les morts sous peine d’un terrible châtiment pour ceux qui tenteraient de les faire enterrer. Les familles peuvent pleurer leurs défunts dans des cimetières virtuels, les suicides sont fortement encouragés, les relations sexuelles non virtuelles et les grossesses sont interdites. Isobel jeune femme rebelle qui veut enterrer sa mère va s’éprendre de Travis, le gardien du cimetière, jeune homme fascinant qui n’est peut-être pas ce qu’il prétend être…

Cathy Jurado-Lecina

« Nous tous sommes innocents » Cathy Jurado-Lecina

Les Passereaux, mai 1957. Jean est un jeune paysan qui aime inventer des histoires et rêve de devenir instituteur et de s’installer à la ville. Mais, seul garçon de la famille, il ne peut échapper à la ferme et à ses obligations familiales. Seule Odette, la jeune fille rêveuse et douce qu’il fréquente, parvient à lui faire oublier cette vie qu’il voudrait fuir : le père, Martin-la-Corneille, sombre et colérique, délaisse ses responsabilités ; la mère, Joséphine, est sévèrement brimée par sa fille aînée… Lorsqu’on lui refuse d’épouser Odette, et que Paule, sa petite soeur chérie qui n’a pas toute sa tête, tombe enceinte et qu’on songe à une faiseuse d’anges, Jean est bouleversé. Abandonné et trahi, il se noie jusqu’à l’abrutissement dans le travail à la ferme pour oublier. La famille se replie sur elle-même. Acculé, cerné, Jean est gagné par la paranoïa et se ferme au monde au point de sombrer dans la folie. Dans un ultime acte de désespoir, il grave à mains nues le plancher de sa chambre et s’y laisse mourir. Tragédie au sens théâtral du terme, Nous tous sommes innocents raconte l’histoire déchirante d’un homme vaincu par la folie et, à travers ses yeux, d’une famille qui porte en elle le ferment de sa propre malédiction. Roman du tourment inspiré d’une histoire vraie, il interroge : sommes-nous tous innocents ? Sommes-nous tous coupables ? Peut-on échapper à la fureur de la fortune ? Tout comme le destin s’abat sur Jean, l’étau se referme sur le lecteur, qui en sera irrémédiablement bouleversé.

Franz Kafka

Alexander Key

«Après la vague Alexander Key»

4e de couv. :

Après de longues années de guerre et un cataclysme, le monde occidental est détruit. A 17 ans, Conan est un rescapé qui vit sur un îlot depuis cinq ans lorsque l’arrivée d’un bateau arborant le pavillon ennemi vient rompre sa solitude. Emmené contre son gré, Conan découvre la ville de l’Ordre nouveau, Industria, dans laquelle sa force physique et son intelligence le destinent à la condition d’ouvrier. Cependant, Conan refuse de se soumettre à la hiérarchie sociale d’une cité dont il exècre le fonctionnement totalitaire. Mû par son esprit d’indépendance et son désir de retrouver les siens à High Harbor, une petite cité qui résiste tant bien que mal à la suprématie de l’Ordre nouveau, il trouve l’aide nécessaire pour planifier sa fuite.

Alexandra Koszelyk

« L’Archiviste » Alexandra Koszelyk

K est archiviste dans une ville détruite par la guerre, en Ukraine. Le jour, elle veille sur sa mère mourante. La nuit, elle veille sur des œuvres d’art. Lors de l’évacuation, elles ont été entassées dans la bibliothèque dont elle a la charge. Un soir, elle reçoit la visite d’un des envahisseurs, qui lui demande d’aider les vainqueurs à détruire ce qu’il reste de son pays : ses tableaux, ses poèmes et ses chansons. Il lui demande de falsifier les œuvres sur lesquelles elle doit veiller. En échange, sa famille aura la vie sauve. Commence alors un jeu de dupes entre le bourreau et sa victime, dont l’enjeu est l’espoir, espoir d’un peuple à survivre toujours, malgré la barbarie.

« La dixième muse » alexandra Koszelyk
4e de couv. : Au cimetière du Père-Lachaise, des racines ont engorgé les canalisations. Alors qu’il assiste aux travaux, Florent s’égare dans les allées silencieuses et découvre la tombe de Guillaume Apollinaire. En guise de souvenir, le jeune homme rapporte chez lui un mystérieux morceau de bois. Naît alors dans son cœur une passion dévorante pour le poète de la modernité. Entre rêveries, égarements et hallucinations vont défiler les muses du poète et les souvenirs d’une divinité oubliée : Florent doit-il accepter sa folie, ou croire en l’inconcevable ? Dans cet hommage à la poésie et à la nature, Alexandra Koszelyk nous entraîne dans une fable écologique, un conte gothique, une histoire d’amours. Et nous pose cette question : que reste-il de magique dans notre monde ?

« À crier dans les ruines » Alexandra Koszelyk

4e de couv. : Condamnée à fuir loin de son pays natal, elle y laisse toute sa vie, son entourage, ses camarades et surtout son amour : Ivan. Arrachée à sa terre et perdue au milieu d’un océan de questions sans réponses, elle tentera de trouver un sens à sa nouvelle vie.
En France, elle devra tout réapprendre, s’adapter à son nouveau pays avec sa langue et ses coutumes, loin de tout ce qu’elle a pu connaître… Mais son passé et ses sentiments ne cessent de la hanter, si bien qu’un retour à ses racines semble inéluctable.

Geoffrey Lachassagne

« Et je me suis caché» Geoffrey Lachassagne

C’est un roman qui m’a marqué par l’utilisation d’une langue très particulière et une certaine dureté dans ce que vivent les personnages.

BENOÎT MARIE LECOIN

« Ikiro » Benoît Marie Lecoin

4e de couv. :

Ikiro, jeune étudiant en architecture de l’université de Tokyo tombe follement amoureux de Midori, une jeune femme dont il sera passionnément épris, par-delà le temps et l’espace. Débute alors un voyage à la lisière entre deux mondes, guidé par le chat Pumpkin. Quotidien et merveilleux se mêleront dans cette histoire d’amour vertigineuse. Un hommage à un Japon magique, peuplé de yokaïs et d’animaux bavards. Est-ce que la passion des deux amoureux triomphera de la frontière entre le réel et le rêve ?

Gilles Marchand

« Le soldat désaccordé » Gilles Marchand

4e de couv. :

Paris, années 20, un ancien combattant est chargé de retrouver un soldat disparu en 1917. Arpentant les champs de bataille, interrogeant témoins et soldats, il va découvrir, au milieu de mille histoires plus incroyables les unes que les autres, la folle histoire d’amour que le jeune homme a vécue au milieu de l’Enfer. Alors que l’enquête progresse, la France se rapproche d’une nouvelle guerre et notre héros se jette à corps perdu dans cette mission désespérée, devenue sa seule source d’espoir dans un monde qui s’effondre.

« Une bouche sans personne » Gilles Marchand

4e de couv. : De sa lèvre inférieure au tréfonds de sa chemise, il a une cicatrice qu’il dissimule sous une écharpe. Le jour, il compte et recompte des colonnes de chiffres. La nuit, il retrouve Sam, Thomas et Lisa au café. Ses trois amis ne savent rien de lui. Un soir, il décide d’ôter le cadenas de son armoire à souvenirs. Et de raconter avec fantaisie l’empreinte que l’Histoire a laissée sur son corps…

« Des mirages plein les poches » Gilles Marchand (nouvelles)

4e de couv. : Un musicien de rue, un homme qui retrouve sa vie au fond d’une brocante, des chaussures qui courent vite, deux demi-truites, une petite lampe dans un couffin, le capitaine d’un bateau qui coule, la phobie d’un père pour les manèges, un matelas pneumatique… On ne sait jamais qui sont les héros des histoires de Gilles Marchand : objets et personnages se fondent, se confondent et se répondent chez cet auteur qui sait, comme nul autre, exprimer la magie du réel. Sous ses airs de fantaisiste, il raconte la profondeur de l’expérience humaine.

« Un funambule sur le sable » Gilles Marchand
4e de couv. :

Naître avec un violon dans la tête, c’est impossible ? C’est pourtant ce qui est arrivé à Stradi. Depuis son enfance, il souffre de l’incompréhension, de la maladresse ou de l’ignorance de ceux qui partagent son quotidien. À ces souffrances, il oppose un optimisme invincible. De petites victoires en désillusions, il apprend à vivre dans un monde qui ne semble pas fait pour lui.

requiem

« Requiem pour une Apache » Gilles Marchand
4e de couv. :
Jolene n’est pas la plus belle, pas la plus fine non plus. Et pas forcément la plus sympa. Mais lorsqu’elle arrive dans cet hôtel, elle est bien accueillie. Un hôtel ? Plutôt une pension qui aurait ouvert ses portes aux rebuts de la société : un couple d’anciens taulards qui n’a de cesse de ruminer ses exploits, un ancien catcheur qui n’a plus toute sa tête, une jeune homme simplet, une VRP qui pense que les encyclopédies sauveront le monde et un chanteur qui a glissé sur la voie savonneuse de la ringardisation. Ce petit monde vivait des jours tranquilles jusqu’à ce que Jolene arrive. En quelques mois à peine, l’hôtel devient le centre de l’attention et le quartier général d’une révolte poétique, à l’issue incertaine.

« Le soldat désaccordé » Gilles Marchand Éditions Aux Forges de Vulcain

4e de couv. :
Paris, années 20, un ancien combattant est chargé de retrouver un soldat disparu en 1917. Arpentant les champs de bataille, interrogeant témoins et soldats, il va découvrir, au milieu de mille histoires plus incroyables les unes que les autres, la folle histoire d’amour que le jeune homme a vécue au milieu de l’Enfer. Alors que l’enquête progresse, la France se rapproche d’une nouvelle guerre et notre héros se jette à corps perdu dans cette mission désespérée, devenue sa seule source d’espoir dans un monde qui s’effondre.

Charles Marie

« Contretemps » Charles Marie

Il s’agit du premier roman publié Aux Forges de vulcain mais lorsque j’ai commencé à lire les romans de cette maison d’édition je il était épuisé. j’ai donc dû attendre une réédition en 2018avec une nouvelle couverture pour découvrir cette histoire.

Il n’avait pas vieilli ! et ce fut un coup de cœur.

David Meulemans

« Écrire son premier roman en dix minutes par joue » David Meulemans

4e de couv :

Écrire son premier roman en dix minutes par jour est un manuel qui vous propose de vous accompagner, pendant quelques semaines ou quelques mois, dans l’écriture de votre premier roman. L’ouvrage aborde successivement la question de l’angoisse de la page blanche, de la construction des personnages, de la création d’une ligne narrative. Parallèlement aux questions purement techniques liées à l’art de la narration, ce manuel propose un ensemble de conseils pour aider les écrivains en herbe à créer et entretenir l’habitude d’écrire régulièrement. Il propose à la fois une synthèse de recherches récentes sur la psychologie de la création et des connaissances accumulées par les écrivains et scénaristes. Ce texte est la synthèse d’une expérience de près de vingt ans d’animation d’atelier d’écriture.

Robert Montgomery Bird

« Sheppard Lee, écrit par lui même » Robert Montgomery Bird

4e de couv.

 » Selon toute apparence, je détenais le pouvoir inouï de transporter mon esprit de corps en corps à volonté, ou du moins dans certaines circonstances.  » Au début du xixe siècle, à Philadelphie, un jeune fermier oisif et indolent se découvre l’incroyable don de migrer dans les corps récemment morts et de les ramener à la vie. De réincarnation en réincarnation, Sheppard Lee sera un pauvre hère, un riche campagnard, un dandy coureur de dots, un usurier au cœur de pierre, un esclave noir… Ses multiples existences vont peu à peu dessiner le portrait cruellement actuel de la société américaine, une société aussi folle que féroce.

« La source au bout du monde » William Morris

Cet ouvrage englobe les trois tomes de « le puits au bout du monde »

Article de présentation

« Le Puits au bout du monde 1 : La Route vers l’amour » William Morris    LU ET CHRONIQUE

« Le puits au bout du monde. Livre 2 : la route des dangers » William Morris

« Le pays creux » William Morris

Pas de chronique

john ball

«Un rêve de John Ball» William Morris LU CHRONIQUE PERDUE

« La plaine étincelante » William Morris
4e de couv. :

La fiancée de Gîtallègre est kidnappée. Le jeune homme s’élance à la poursuite des ravisseurs pour la retrouver et pénètre alors dans la Plaine étincelante, un royaume étrange, utopique, qui va être l’occasion pour William Morris, inventeur de la fantasy, de mêler ses trois passions, le Moyen Âge, la magie et la politique, ce voyage étant, à la fois, une aventure épique et une réflexion sur l’égalité et la liberté.

D’abord publié en 1891, ce roman marque un basculement pour William Morris qui, pour la première fois, trouve un équilibre entre le conte (Le Pays creux) et le récit historique (Un Rêve de John Ball), inventant un récit à la fois épique et magique, aux accents politiques forts, qui marque le début de la fantasy. Premier succès immédiat de Morris, La Plaine étincelante jeta les bases de ce qui sera, quelques années plus tard, le chef d’œuvre de Morris, La Source au bout du monde.

Sara Nosratian et Marielle Durand

« Les Jeux Olympiques en anecdotes et dessins » Sara Nosratian et Marielle Durand

Les jeux olympiques se tiennent à Rio, au Brésil, à l’été 2016. Tout le monde va les regarder, car les JO, c’est plus que du sport : ce sont de grandes et belles histoires humaines. Des histoires de vaincus magnifiques, de héros improbables, d’amitiés superbes et d’accomplissements inouïs. Ce livre montre la beauté et l’humanité des Jeux, avec des dizaines d’histoires passionnantes, illustrées de dessins aux couleurs vives, à l’image de ces célébrations de l’esprit humain que sont les Jeux.

Adrien Pauchet

« Désert noir » Adrien Pauchet (2)

Épisode qui suit « Pills nation ».

Une drogue qui permet de déjouer la mort : pourriez-vous dire non ?

Qui refuserait, pour le prix d’une pilule, de revoir ses chers disparus ? L’Orphée, cette nouvelle drogue que tout Paris s’arrache, a ce pouvoir : vous faire pénétrer, pour un instant du moins, au royaume des morts… Mais dans le sillage de cette promesse, le chaos déferle : overdoses, guerres de clans, assassinats. Avec son groupe du 36, Jocelyn a pour mission de démanteler la filière. Au lendemain d’une intervention désastreuse, les questions se multiplient : qui est cette fille mutique et en cavale ? Qui est cette femme à l’intelligence redoutable, aux desseins opaques ? Entre mafia, société secrète, et innocents en déroute, le policier navigue à vue – à la frontière, si séduisante, si périlleuse, du désert noir…


Pills nation

« Pills nations » Adrien Pauchet (1)

4e de couv. :
Paris, de nos jours, la canicule. Le taux de mortalité grimpe, à mesure que monte l’angoisse : les plus âgés ne sont pas seuls à mourir. Une drogue étrange et hors de prix, l’Orphée, fait croire à ceux qui la consomment qu’ils peuvent revoir leurs morts. L’ensemble de la société s’effondre. Mais un dernier rempart improbable se dresse : Caroline, capitaine de police, elle-même consommatrice de la drogue miracle. Qu’est-ce qu’Orphée ? Qui la fabrique ? Pourquoi ? Dealers et flics, jeunes et vieux, riches et paumés vont tous être embarqués dans une enquête en forme de descente aux enfers dont le rythme effréné est rendu délicieusement douloureux par la moiteur étouffante de la capitale au soleil de plomb.

« Jusque dans la terre » Sue Rainsford
4e de couv. :
Ada vit avec son père dans une clairière, en bordure d’une forêt, non loin de la ville. Ils passent leur temps à soigner les habitants qui leur confient leurs maux et leurs corps, malgré la frayeur que ces deux êtres sauvages leur inspirent parfois. Un jour, Ada s’éprend de Samson, un de ces habitants. Cette passion, bien vite, suscite le dépit voire la colère du père de la jeune fille et de certains villageois. L’adolescente se retrouve déchirée par un conflit de loyauté entre son héritage vénéneux et cet élan destructeur qui l’emmène loin de tout ce qu’elle a connu.
Roman lyrique, inquiétant, roman de l’émancipation autant que roman du désir souverain, Jusque dans la terre a été salué comme la naissance d’une romancière à l’imagination terrifiante, peuplée de sorcières et de monstres.

Traduit de l’anglais (Irlande) par Francis Guévremont.

Pierre Raufast

« Habemus Piratam » Pierre Raufast

4e de couv. :
Francis mène une vie bien calme. Il faut dire qu’il est curé dans la vallée de Chantebrie et que ses paroissiens ont peu de péchés palpitants à lui confesser. Jusqu’au jour où un homme débarque dans son église pour s’accuser d’avoir enfreint chacun des dix commandements. Plaisir inattendu : l’homme est un hacker de génie et ses crimes sont pour le prêtre l’occasion de découvrir avec délice un monde dont il ne soupçonnait pas l’existence : le monde des pirates informatiques, de la cybersécurité et du dark web. Francis met alors le doigt dans un engrenage numérique qui va l’entraîner beaucoup plus loin que prévu.

« Les embrouillaminis » Pierre Raufast

L’auteur de ce roman est né sous le signe de la Balance : il est incapable de choisir sa confiture au petit-déjeuner ni même le destin des héros de ses romans. Est-ce que Lorenzo part au Mexique rejoindre une équipe d’effaroucheurs, disciples des dieux aztèques ? Ou alors, est-ce que Lorenzo reste dans la vallée de Chantebrie et devient cambrioleur par amour ? José-Luis Borges parle d’une bibliothèque infinie dans laquelle se trouveraient toutes les histoires du monde. L’auteur de ce roman remercie l’écrivain argentin pour l’avoir invité dans ce lieu où l’indécision est heureuse.

Luke Rhinehart

« L’odysée du vagabond » Luke Rhinehart

4e de couv. :
Alors qu’ils voguent paisiblement dans la baie de Chesapeake, les passagers du trimaran « Vagabond » apprennent que l’holocauste nucléaire a commencé. Le monde entier a sombré dans le chaos. Mais le capitaine Neil Loken et ses compagnons d’infortune comprennent qu’ils sont peut-être les seuls survivants de l’humanité. Leur habileté et leur courage suffiront-ils pour survivre ?
Dans ce roman à succès des années 1980, Luke Rhinehart nous emmène dans un récit de survie qui sent bon le film post-apocalyptique de l’époque Reagan. Il montre l’immense variété de son talent de conteur, et son sens de l’aventure. Et capture toute une époque : ses folies, ses obsessions, ses héros et ses illusions.

« Vent blanc, noir cavalier » Luke Rhinehart

4e de couv. :
« Je ne suis pas morte », dit-elle avec une voix douce et émerveillée.
Matari, qui s’était enfoncée dans la nuit neigeuse dans l’espoir d’y mourir, est sauvée et recueillie par Oboko, un poète et moine bouddhiste. Nous sommes au Japon, au début du dix-huitième siècle. Oboko et son ami Izzi, un poète de cour, aussi extraverti qu’Oboko est secret, s’éprennent, l’un comme l’autre, de la jeune femme, qui leur apprend que, bientôt, ils seront tous les trois rejoints, et sans doute massacrés, par le Seigneur Arishi, auquel Matari était promise, et qu’elle a fui.

« L’homme-dé » Luke Rhinehart

4e de couv. :

Notre monde est fait de règles. Si toutes ces injonctions permettent la cohabitation pacifique de tous, elles assurent aussi le complet malheur de chacun. Les dés peuvent nous libérer, comme ils ont libéré Luke Rhinehart, un psychiatre à la vie étriquée, qui décide de jouer aux dés tous ses choix… quelles qu’en soient les conséquences.

« Invasion » Luke Rhinehart    

4e de couv. :

Des boules de poils intelligentes débarquent sur Terre. Venues d’un autre univers, elles n’ont d’autre but que de s’amuser. L’une d’entre elles, Louie, est adoptée par Billy Morton, un Américain moyen plein de bon sens. Quand les autorités décident de se saisir de ces bestioles, Billy et sa famille, échaudés par l’Amérique
contemporaine où ils se sentent de moins en moins à l’aise, prennent la tangente : peut-être que, finalement, la sagesse n’est pas du côté du pouvoir politique, mais du côté de cette anarchie sympathique, de cette libération improbable que cette invasion apporte.

« Jésus-Christ Président » Luke Rhinehart

À LIRE !

4e couv. : Alors que sa présidence s’achève sans éclat, George W. Bush, un matin, se trouve possédé par… Jésus ! Le Fils de Dieu, irrité que le nom de son Père soit prononcé en vain pour justifier tout et n’importe quoi, a décidé de descendre sur terre. Le président des États-Unis devient ainsi la marionnette du Christ afin d’établir un monde plus juste et équitable. Mais c’était sans compter sur l’administration républicaine qui a porté Bush au pouvoir et voit d’un très mauvais œil ces étranges idées de partage, de générosité, de paix. Dans cette satire faussement innocente, l’auteur de L’Homme-dé montre ce qui sépare l’idéal du réel, l’impuissance du cynisme, la naïveté de l’hypocrisie.

Rivers Solomon

« Sorrowland » Rivers Solomon

4e de couv. :

Vern est enceinte de sept mois et décide de s’échapper de la secte où elle a été élevée. Cachée dans une forêt, elle donne naissance à des jumeaux, et prévoit de les élever loin de l’influence du monde extérieur. Mais, même dans la forêt, Vern reste une proie. Forcée de se battre contre la communauté qui refuse son départ, elle montre une brutalité terrifiante, résultat de changements inexplicables et étranges que son corps traverse. Pour comprendre sa métamorphose et protéger sa petite famille, Vern doit affronter le passé…

« Les Abysses » Rivers Solomon

4e de couv. : Lors du commerce triangulaire des esclaves, quand une femme tombait enceinte sur un vaisseau négrier, elle était jetée à la mer. Mais en fait, toutes ces femmes ne mourraient pas. Certaines ont survécu, se sont transformées en sirènes et ont oublié cette histoire traumatique. Un jour, l’une d’entre elles, Yetu, va leur rappeler, dans ce roman d’émancipation, magique et réflexif, sur la condition noire et sur l’impossibilité d’une justice, en l’absence de vérité.

Thomas Spok

« Uter Pandragon » Thomas Spok

Le roi Constant avait trois fils. L’un meurt, et les deux autres, Uter et Pandragon, vivent loin. En leur absence, Vortigern règne sur la Bretagne. Mais son pouvoir fatigue les barons et les fils de Constant reviennent et tentent de reprendre le trône. Pandragon est un meneur d’hommes et croit en son bon droit. Uter est un aventurier, mû par la vengeance. Peu à peu s’enchaînent batailles et victoires, mais une ombre plane, celle de Merlin et d’une mystérieuse petite fille. Uter et Pandargon sont-ils maîtres d’eux-mêmes, ou les jouets de puissances obscures et merveilleuses ?


François Szabowski

« Les femmes n’aiment pas les hommes qui boivent François Szabowski

C’est par ce roman que j’ai découvert le catalogue Aux Forges de Vulcain, et je peux vous dire que ce fut un choc littéraire pour moi. C’est le genre de roman où ça passe ou ça casse. Dès le titre et la couverture il faut se préparer.

L’éditeur proposait si je me souviens bien 4 titres de la maison d’édition à 5 lecteurs contre chronique. Et voyez où cela m’a mené !

« Les majorettes, elles, savent parler d’amour » François Szabowski

Je suis devenue fan de François Szabowski et sa manière d’écorcher ses contemporains.

« Il faut croire en ses chances » François Szabowski

Quatrième roman de cet auteur.

On note une certaine évolution dans l’écriture et un changement vers autre chose.

«Il n’y a pas de sparadraps pour les blessures du cœur Il n’y a pas de sparadrap pour les blessures du cœur » François Szabowski

« La famille est une peine de prison à perpétuité et autres proverbes » François Szabowski & Elena Vieillard

C’est un livre que j’ai lu et dont j’ai parlé à sa sortie, mais je n’ai pas su le chroniquer.

C’est très particulier… c’est parfois plus que du 3e degré !

Certains proverbes m’ont fait sourire, certaines illustrations aussi…

Et parfois je n’ai pas compris.

Romain Ternaux

« Underdog samouraï » Romain Ternaux

4e de couv : Un jeune homme, un peu loser sur les bords, se procure un sabre japonais sur le dark web. Hélas, l’objet de collection s’avère être un faux qui se brise en deux temps trois mouvements. Pris de rage, car, à l’époque moderne, il n’est pas de plus juste courroux que celui de la personne qui, sur le web, a acheté à son insu un truc en toc, notre héros part au Japon pour se venger des yakuzas qui ont abusé de sa crédulité. Ce qui n’était au début qu’une simple expédition sanglante et vengeresse se transforme très vite en une quête des origines où, au contact de sumotoris sensibles et de yokais goguenards, le jeune homme va découvrir qu’il est peut-être l’élu dont parlent d’anciennes prophéties.

i am vampire

« I am Vampire » Romain Ternaux

4e de couv. : Artiste-peintre misanthrope, misogyne et libidineux en manque de reconnaissance, Bertrand vit aux crochets de son ami Yann, un rond-de-cuir de l’armée qu’il méprise. En proie à des accès de violence, il se découvre des pouvoirs extraordinaires. Serait-il en train de devenir un vampire ?

« Spartacus » Romain Ternaux
4e de couv. :
Un roman qui montre Spartacus comme vous ne l’avez jamais vu.
Racontées à la première personne, les aventures de l’esclave révolté deviennent le journal intime et hilarant d’un pauvre type qui, se trouvant au bon endroit au bon moment, finit par incarner l’espoir des dominés et se trouve sans cesse, bien malgré lui, débordé par la violence des hommes.

Provocant, volontairement bête et méchant, ce roman est une fable grinçante et noire sur la passion des peuples pour les hommes providentiels.

« L’histoire du loser devenu gourou » Romain Ternaux

Dans cette farce burlesque, notre antihéros, qui restera sans nom, est l’archétype du loser moderne, vaincu par la société : alcoolique, sans emploi, en proie à la plus profonde misère sexuelle et amoureuse. Poussé par ses parents, il accepte un emploi d’homme à tout faire dans une riche fondation qui se révèle être une secte. Par une suite de quiproquos, il va se retrouver patron de cette secte, qui réunit principalement de riches bourgeois érotomanes. Mais ce jeu de masques, ce retournement subversif des valeurs et des positions, ne va pas le rassurer pour autant et, ainsi parvenu au sommet de la pyramide sociale et sexuelle, il va découvrir qu’il ne désire pas plus être maître qu’il ne désirait être esclave. Dans cette fable faussement innocente, mâtinée d’humour trash et de scènes rocambolesques, Romain Ternaux se livre à une destruction méthodique de tout ce qui fait une société : famille, travail, amour. Construit comme un vaudeville surréaliste, cette aventure piège son antihéros comme son lecteur dans une vertigineuse et folle escalade, dont rien ni personne ne sortira indemne. Lorgnant à la fois vers Gaston Lagaffe, vers les Deschiens, vers cette littérature américaine peuplée de vaincus magnifiques (Bukowski, Hunter S. Thompson), L’histoire du loser devenu gourou est un grand éclat de rire de la puissance de ceux qui font exploser nos contradictions et nos faux-semblants.

Franck Thomas

« L’amour à la page » Franck Thomas
4e de couv :
Aujourd’hui, plus personne ne lit et tout le monde veut écrire. Franck, après avoir publié un premier roman qui n’a pas connu de succès, se fait virer par son éditeur. Convaincu que son génie va être reconnu sous peu, il fait le tour de toutes les maisons d’édition de la place de Paris. Après quelques échecs humiliants, il se retrouve à devoir écrire une histoire pour une illustratrice jeunesse. La collaboration avec la jeune femme est houleuse. Mais Franck se console en pensant à tous les grands génies qui ont souffert avant d’être reconnus ! Parallèlement à cette mission, il intrigue, à droite à gauche, espérant percer. Au risque de blesser ladite jeune illustratrice, pour laquelle il commence à avoir un tendre attachement…

« La fin du monde est plus compliquée que prévue » Franck Thomas

À LIRE !!!

Hélas, lors d’une conférence de presse, son fils de treize ans annonce qu’il a fait placer des bombes nucléaires dans toutes les grandes capitales, et l’Occident n’a que quelques jours pour se repentir.
D’abord dubitatifs, la population et les dirigeants commencent à prendre peur.
L’occasion pour un fan de petits trains électriques, une lieutenante de gendarmerie portée sur la boisson et un fonctionnaire de l’ONU un peu trop pépère d’être emportés dans une farce surréaliste.

Gilberto Villaroel

« Cochrane Vs Cthulhu » Gilberto Villarroel

Cet auteur chilien qui vit en France depuis quelques temps nous plonge dans un univers lovecraftien version aventure.

J’en ai pour lire l’appel du Cthulhu » et découvrir ce classique.

« Lord Cochrane vs l’Ordre des Catacombes » Gilberto Villarroel

J’ai eu le plaisir de retrouver certains des personnages du tome 1.

Cette série mélange personnages réels romancés et personnage fictifs.

« Lord Cochrane et le trésor de Selkirk » Gilberto Villarroel
À LIRE !
4e de couv. :
Le marin le plus audacieux de tous les temps revient pour une nouvelle aventure.Chili, 1822. Tremblement de terre et raz-de-marée à Valparaíso. Lord Cochrane, amiral de la flotte chilienne, sauve la vie du général Bernardo O’Higgins. En guise de remerciement, le général lui révèle que sur l’île principale de l’archipel de Juan Fernández, le corsaire Alexander Selkirk a caché en 1704 un trésor que personne n’a pu retrouver. Tout indique que le trésor est une relique que Selkirk a apportée avec lui d’une région du détroit de Magellan que les aborigènes appellent les Montagnes Hallucinées. Cet endroit aurait été la première demeure sur Terre d’un dieu venu des étoiles, l’immortel Cthulhu. Intrigué, Lord Cochrane part pour Juan Fernández avec son amie Maria Graham et le capitaine Eonet. Il est aussi poursuivi par un de ses vieux ennemis, le capitaine Gervasio Corrochano, un ancien officier de la marine espagnole qui commande désormais un bateau pirate, l’Águila. Cochrane est de retour pour élucider un ancien mystère et affronter de nouveaux dangers, cette fois dans les eaux dangereuses du Pacifique !

Traduit de l’espagnol par Jacques Fuentealba.

« Guide de survie pour le voyageur du temps amateur » Charles Yu

4e de couv. :
Notre héros répare les machines à voyager dans le temps. Il a pour seuls compagnons un chien et une intelligence artificielle qui a le béguin pour lui. Un jour, il se trouve lui-même prisonnier d’une boucle temporelle et devra partir à la recherche de son propre père, un inventeur frustré et méconnu, qui créa la machine à remonter le temps. Un roman drôle, virtuose et touchant, rencontre improbable mais réussie entre Proust et Asimov.

super-héros de troisième division

« Super-héros de troisième division » Charles Yu LU ET CHRONIQUE

4e de couv :

Dans ce recueil de nouvelles, Charles Yu, romancier reconnu (Guide de survie pour le voyageur du temps amateur), contributeur de la série TV West World, montre comment, en passant par des lieux communs de la culture geek, reposer des questions qui hantent l’Amérique : l’obligation de réussir, le sentiment d’échec, l’incapacité à dire ce que l’on ressent, le miroir aux alouettes du capitalisme, la difficulté d’être mère. Empruntant à la fois à Kafa, pour cette impression d’étrange familiarité, et à la culture populaire, Charles Yu s’est imposé avec ce recueil comme un des plus importants nouvellistes contemporain, publié par le New Yorker.

chinatown

« Chinatowns, intérieur » Charles Yu
4e de couv. :
Willis est un Américain d’origine asiatique qui tente de percer à Hollywood. Dans un monde qui voit tout en noir et blanc, qui se pense comme un affrontement entre Noirs et Blancs, Willis a-t-il sa place ?

Mêlant le petit et le grand écran, la série policière, le film de kung-fu, la comédie romantique, le film de procès, Charles Yu nous offre un grand roman américain, émouvant, tendre et parfois amer, un récit d’odyssée personnelle et de conquête sociale dans ce champ de bataille qu’est la société américaine.

fable

A chroniquer

« Fable » Charles Yu

Un psy donne un exercice à son patient : raconter sa vie sous la forme d’une fable. L’homme s’exécute. Commence alors un récit mêlant fantasy, fantastique et introspection, avec humour et mélancolie.

« Pardon, s’il te plaît, merci » Charles Yu

À LIRE

Un homme ne sait comment courtiser une collègue – alors qu’une invasion zombie est en cours. Une société décide de permettre à chacun de donner ses mauvaises journées à autrui. Le chef d’une bande de héros de fantasy est pris d’un grand doute existentiel. Autant de situations absurdes qui, nourries de culture geek et de littérature classique, deviennent des méditations mélancoliques sur les problèmes de l’homme moderne.

NON FICTION

Ursula Le Guin

« Le langage de la nuit. Essai sur la Science fiction et la fantasy » Ursula K. LeGuin

À LIRE

4e de couv : En 1979, Ursula K. Le Guin est au sommet de sa gloire : ses romans de science fiction et de fantasy se sont imposés comme des chefs d’œuvres et elle est une des romancières américaines les plus primées. Toutefois, parallèlement à ces succès publics, elle a la réputation d’être une théoricienne hors pair, et une oratrice remarquable. Elle parcourt alors universités, congrès, bibliothèques et librairies pour parler des sujets qui la passionnent : le féminisme, l’anarchisme, le rôle humaniste de la littérature, et, surtout, la fonction des littératures de l’imaginaire. Le Langage de la nuit est le recueil d’essais littéraires qui résument sa pensée et composent un manifeste pour l’imaginaire, car si nous pensons et parlons le jour, la moitié de notre vie se passe la nuit, où se réfugient la poésie et l’imaginaire. Pourquoi les littératures de l’imaginaire ont cessé, au vingtième siècle, d’être le cœur de la littérature ? Que permet la science-fiction ? Quelle est la place de la littérature jeunesse dans la littérature ? Autant de questions qui occupent les lecteurs depuis cinquante ans et qui trouvent des réponses dans ce volume, préfacé par le romancier Martin Winckler, fin connaisseur de la science-fiction, et grand admirateur de l’humanisme merveilleux de Le Guin.

Bilan 2021

Chers lecteurs,

C’est l’heure des bilans… Par où commencer ?

La santé ça va ! Le moral fluctuant comme beaucoup…

Le travail : petit changement et plus d’heures de travail pour quelques mois, le banquier est content mais mon niveau de stress à trop augmenté à mon goût !

Je n’ose pas relire mes bonnes résolutions de l’année dernière (il y a de grande chance qu’elles se résument à survivre !).

Voici un an que j’ai ouvert ce blog sur wordpress et que j’essaie de rapatrier mes vieux articles (depuis 2009)… le blog a donc ses 13 ans toutes plateformes confondues. Et je ne me suis toujours pas lassée puisque je n’ai pas encore réussi à réaliser toutes mes envies.

Mon ordinateur toujours aussi lent a créé une lassitude ou c’est peut-être en que je suis trop sur l’ordi au travail et qu’en rentrant je n’ai plus la force…

De cette année je retiendrais de belles rencontres réelles et virtuelles, pas autant que je l’aurais souhaité ! Ce qui en ressort de ces expériences c’est une PAL qui a augmentée ! Et encore plus envie de lire…

J’ai aimé suivre une nouvelle maison d‘éditions Argyll, je n’ai pas encore acheté le roman paru en décembre « Sous le vent de la liberté » de Christian Léourier… et déjà je vois que les titres du premier semestre 2022 sont très attirants ! J’ai partagé ses lectures et elles ont été appréciées !

Je remercie toutes les maisons d’éditions qui ont contribué à me faire découvrir des perles. Pour certaines cela fait au moins 10 ans qu’elles m’accompagnent. Je trouve cela merveilleux car cela permet de construire quelque chose !

Je ne sais pas combien de livres j’ai lu, ni combien j’ai chroniqué cette année… jamais assez à mon goût !

J’essaie d’être active sur les réseaux sociaux, c’est une source permanente de nouveautés, de challenges et stimulations et de partage…

J’ai grand plaisir à lire les livres publiés par de grandes maisons d’éditions mais je continue à suivre et/ou découvrir des maison d’éditions indépendantes… sans forcément avoir de partenariats.

Merci à Dup et Phooka, Maeve, Séverine L, Xavier D, David M et Serial Lecteur Nyctalope et j’en oublie qui sont de vrai locomotives…

Merci à tous ceux qui me suivent ici et ailleurs…

Merci à mon bullet journal qui me rappelle à l’ordre lorsque je dérape…

J’espère que nous continuerons à partager nos lectures et à mieux nous connaître.

Bonne Année 2022 !

Rencontre à la Librairie : Rebecca Gisler

Retour sur ma sortie du samedi 27 novembre 2021.

Dans les Corbières, on peut trouver de jolies balades ou randonnées, mais aussi une volonté de faire vivre la culture.

Dans le village il y a entre autre la maison du banquet et des génération qui proposent des colloques, des résidences d’artiste… un café associatif et une librairie. À la librairie de l’homme on peut trouver de bon ouvrages et faire des rencontres littéraires. Je ne peux pas toujours y aller… C’est toujours l’occasion de faire de belles découvertes littéraires.

Vue de l’Orbieu en cette fin d’après-midi froide et humide. Lagrasse dans l’Aude.

La maison d’édition Verdier est liée à ce coin des Corbières (siège social à Lagrasse) et à cette association qui travaille beaucoup autour de la philosophie. Michèle Planel était présente et une autre dame de la maison dont je n’ai pas retenu le nom.

Dominique Larroque-Laborde a mené la rencontre sans tout dévoiler du texte. Elle nous a fait découvrir l’autrice et son travail littéraire. Elle nous a lu quelques passages qui l’on marqué. Dans sa discussion avec Rebecca Gisler on sentait combien elle trouvait le texte jubilatoire et le travail de la langue fin. Elle m’a vraiment donné envie de découvrir ce roman.

Rebecca Gisler nos a lu quelques passages clés pour nous montrer son travail sur la langue.

Elle nous a expliqué qu’elle a fait ses études en langue allemande et que pour écrire elle a eu besoin de réinvestir la langue française, de s’immerger dans une langue à travers certains auteurs. Elle sentait que pour la fiction elle devait utiliser le français.

Cela m’a fait penser à Agotha Kristof qui nous parle de cette question de langue dans « L’Analphabète »

Elle nous aussi parlé de la traduction de ce roman quelle était en train de réaliser avec tout un travail de réécriture pour retrouver tout son travail sur la langue en français.

De retour à la libraire pour dédicacer mon exemplaire. Et l’occasion de papoter de la littérature suisse qui commence à avoir vu en France. Ma dernière rencontre à la librairie fut aussi avec un auteur Suisse Bruno Pellegrino. Un autre auteur suisse for sympathique et qui aime le travail de la langue française.

Je n’ai pas trop trainé après la discussion… on m’attendait à la maison. La nuit tombe vite à cette époque de l’année et il faisait froid. Une petite marche jusqu’au parking et peu de route.

4e de couv. : D’oncle raconte l’histoire d’un oncle. D’un homme-limite jamais grandi, coincé depuis cinquante ans quelque part en enfance et au bord de la mer, au bout du monde. À la faveur de circonstances exceptionnelles, d’une réclusion forcée peut-être, la narratrice est amenée à observer de près cet homme à l’hygiène douteuse, aux manies bizarres, à la santé défaillante, aux proportions anormales, définitivement trop petit, trop gros et trop boiteux pour ce monde. Elle lui tourne autour, tente d’éclaircir ce qui a tout l’air d’un mystère, bute sur de grands pans d’oubli familial, sur les tracasseries d’un quotidien impossible et d’un avenir incertain. Elle spécule. Se livre à un nécessaire délire au contact de cet oncle planté là comme un défi à toute espèce de conformité. En filigrane, c’est le portrait d’une famille et d’une époque qui se dessine. Biscornues comme toutes les familles et toutes les époques. ou disons un peu plus. Mais il faudra se garder des conclusions hâtives. Ce petit brin d’oncle traîne la patte sur une frontière ténue. Avec ce premier roman, Rebecca Gisler propose une écriture entomologiste, intriguée et amusée, qui vise à faire le tour d’un sujet aussi étrange que fascinant : un oncle.

À bientôt pour mon avis sur ce roman…

5 e Festival Méditerranée Polar et Aventure : Rencontres samedi 25 septembre 2021

Chers lecteurs,

Je vous ai déjà parlé de ce festival en 2017 et en 2019 … En 2018 je n’y suis pas allée.

Cette année nous découvrons un festival plus automnal… petite escapade improvisée.

Je ne sais pas si c’est parce que j’habite le département voisin mais j’ai l’information pratiquement la veille… pour s’organiser ce n’est pas très pratique, c’est peut-être pour cela que je n’y étais pas en 2018. Cette année j’ai vu passer sur le compte FB d’une copine le vendredi avant de partir au travail.

Est-ce que cette année je vais faire des gaffes ? Cette année toujours pas de CB mais j’avais mes petits sous…

Toujours ensable ce beau bateau ! on a fait le tour avant d’entrer.

Je suis partie de chez moi avec une légère bruine, 1 h de route plus loin le temps était plus clément. Le soleil a fait son apparition.

L’affiche est superbe. Elle m’a fait penser à Gilberto Villarroel mais il n’était pas là ! illustration Fabrice Angleraud et couleurs Michel Borderie.

De jolis noms au programme, mais ceux qui m’ont vraiment donné envie d’y aller ce sont ceux de deux auteurs que j’ai suivi sur Book en Stock, c’est à dire Lionel Davoust (sans Laurent Whale) qui était déjà venu en 2017 et Paul Béorn. Puis, d’autres auteurs… de ma liste je n’ai raté que François Xavier Dillard.

Avant de vous parler des auteurs rencontrés je vais vous présenter mes copines bloggeuses que j’ai eu le plaisir de retrouver. Verauxinelle , Litote, et Elise. Elise et Verauxinelle faisaient partie des bénévoles.

Lionel Davoust, s’est souvenu de moi et de ma Ramettes. Nous avons aussi parlé de Lucien son robot qui envoi des newsletters de son blog et autres anecdotes.

J’étais venue pour « Les Dieux Sauvages.Tome 1 La messagère du ciel » et on a un peu papoté autour des couvertures différentes entre la version Éditions Critic et la version Folio. J’avais déjà la dédicace sur « la route de la conquête » et « Comment écrire une fiction ? »

Paul Béorn, juste au moment où j’étais entrain de dédicacé on nous a demandé de remettre nos masques. Jusqu’au dernier moment j’ai hésité à acheter « Calame Tome 2 » mais ayant le tome 1 en version poche chez Bragelonne, j’ai préféré acheter un jeunesse pour découvrir son côté auteur de littérature jeunesse. J’ai oublié de faire dédicacer « Calame 1 les deux visages » et « le septième guerrier mage ». ça sera pour une autre fois.

On a aussi papoté sur son deuxième mois sur le blog de Dup et Phooka (petit bonjour partagé). Sur ce concept d’interview participatives qui permettent aux lecteurs et aux auteurs d’être à la fois sérieux et plus légers.

J’ai découvert il y a peu Yves Carchon avec « Déborah Worse« . Comme j’ai passé un bon moment j’ai acheté « Dali noir » qui se déroule en partie du côté de Collioure. Nous avons même fait des photos avec la machine prévue à cet effet.

Grâce au partenariat avec le maison d’édition Cairn j’ai aussi découvert Jacques Lavergne avec « Échecs et meurtres » nous avons un peu parlé d’une partie de l’intrigue et je suis repartie avec « Camargue blanche et série noire » dans ce roman il y a le même policier. J’adore les personnages récurrents, va t-il le devenir ?

Franck Ferric, j’ai oublié mon  » Trois oboles pour Charon » que j’ai lu il y a longtemps. C’est étrange il me reste un souvenir d’un bon livre qui m’avait marqué et lorsque j’ai relu m’a chronique je me suis rendu compte qu’au moment où je l’ai lu je l’ai trouvé trop sombre. Le temps passant ma mémoire a lissé certaines aspérités. Je suis repartie avec « Le chant mortel du soleil » de la fantasy qui va m’emporte dans steppes mongoles…

Nicolas Feuz, je ne le connaissais qu’à travers ce qu’en disait Litote sur Instagram. Je n’avais pas prévu d’acheter d’autres livres (j’avais déjà dépassé mon budget) mais il a participé à la petite table ronde et il a dit quelque chose qui m’a intéressé sur le fait qu’il était suisse et que ses romans bien qu’écrits en français sont retravaillé pour la version hexagonale.

Une mention spéciale pour Anouk Shutterberg qui a reconnu ma Kokeshi Ramettes qu’elle a croisé sur les réseaux. Elle bien voulu poser même si je n’ai pas acheté son roman… mais j’ai noté le titre !

Merci à tous les voisins des auteurs avec qui j’ai le plus parlé… Je ne peux tout lire, ni tout acheter… certains ont ont même aidé à la mise en scène…


Des auteurs avaient du mal à laisser leurs lecteurs pour des dédicaces….

De gauche à droite : Jacques Lavergne (auteur et animateur), Paul Arquier Parayre, Yves Carchon, Paul Béorn, Lionel Davoust, Floriant ParePt et Nicolas Feuz

Il y avait une table ronde de prévue. Il y a eu un peu de retard et j’ai bien cru qu’elle n’aurait pas lieu.  » Devenir écrivain : polar et littérature même combat ? » Chaque auteur a abordé un aspect de l’écriture et notamment le travail de recherche, les points communs, les bases historiques du polar et celles de la littérature de l’imaginaire… une discussion s’est établie entre les auditeurs et les auteurs. C’était intéressant mais un peu bref comme toujours lorsqu’un sujet vous intéresse. C’était bon enfant et les auteurs étaient d’humeur taquine.
Seul bémol cette discussion a eu lieu dans la même pièce que les dédicaces donc assez bruyant. Je sais bien que la situation actuelle c’est déjà très bien d’avoir pu réunir autant de personnes intéressantes.

Pour conclure, cet article je dirais que cela m’a fait plaisir de retrouver ce festival du livre, mes copines et les auteurs. Cette année il a eu lieu hors saison et il y avait un côté plus intimiste avec un seul étage. J’espère que l’année prochaine la situation sanitaire sera plus favorable et qu’on retrouvera le festival dans toute sa splendeur avec beaucoup plus de visiteurs. Félicitations aux organisateurs car cela n’a pas dû être facile à organiser.

La petite anecdote de cette année suis restée plus longtemps que prévu avec mon ado qui m’attendait à l’extérieur. Il a été super patient et nous avons pu ensuite profité de la plage un petit moment.

J’ai un autre article à écrire sur ce nous avons vu à l’extérieur du bateau… alors à bientôt pour une autre forme d’art.

5 e Festival Méditérannée Polar et Aventure (achats)

24-25-26 septembre 2021. Le Lydia. Le Barcares.

Ce festival du livre de genre m’a permis de faire le plein de roman fantastique, fantasy et de polars. Comme je lis aussi du jeunesse je me suis laissée tenter par le premier tome d’une série … J’ai fait dédicacer des livres déjà lu et des livres à lire. Je me suis laissée convaincre par les auteurs … je vous laisse découvrir tout ça !

Il me manque certainement quelques marques pages des auteurs présents, mais ce sont d’excellents aides mémoire pour mes futures lectures.

Je commence par les auteurs « du mois de… » sur Book en Stock que j’ai l’impression de connaître un peu plus grâce aux interviews participatives. J’ai eu le plaisir de revoir Lionel Davoust qui était venu en 2017 au 2e festival Méditerranée Polar et de l’Aventure

J’ai lu « Comment écrire une fiction » Lionel Davoust @Argyll

Je vais lire « les Dieux Sauvages. T1. La messagère du ciel » Lionel Davoust @Folio @éditions Critic

Mois de Lionel Davoust

Je voulais acheter « Calame T.2 les deux royaumes «  de Paul Beorn mais comme je voulais le même format que le tome 1 je vais devoir attendre… j’ai même oublié de faire dédicacer Tome 1 ! un autre roman me faisait de l’œil !

J’ai lu « Calame 1. Les deux visages «  Paul Béorn @Bragelonne

Je vais lire « Le club des chasseurs de Fantômes. T1 Le navire des disparus » @Rageot

Mois de Paul Beorn 2018

Mois de Paul Beorn 2021

Fut un temps j’ai eu un partenariat avec les éditions Denoël et j’ai découvert un lire très noir qui m’a fait une forte impression … « Trois oboles pour Charon »

J’ai lu « Trois oboles pour Charon » Franck Ferric @Denoël @Folio

Je vais lire « Le chant mortel du soleil » Franck Ferric @Albin Michel

Depuis quelques temps j’ai un partenariat avec les éditions Cairn et j’ai découvert ces deux auteurs :

J’ai lu « Echec et meurtres » Jacques Lavergne

Je vais lire « Camargue blanche et série noire » Jacques Lavergne @Éditions Cairn

Avec le même personnage principal et toujours en Camargue.

J’ai lu « Deborah Worse » Yves Carchon @Éditions Cairn

Je vais lire « Dali noir » Yves Carchon @Éditions Cairn

Et pour finir en cherchant bien au fond du sac j’ai trouvé des petits sous pour acheter un autre roman bien tentant…

Je vais découvrir « Horrora Boréalis » Nicolas Feuz. @le livre de Poche

Ma copine Litote m’a donné envie, elle a lu plusieurs titres de cet auteur, elle en parle sur l’Atelier de Litote

Je n’ai pas pu acheter tous les livres que je voulais.

C’est toujours embêtant pour les auteurs qui sont juste à côté mais un jour peut-être…

Maintenant il ne me reste qu’à lire ….